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| Sujet: ZELIA ◮ Ladies, you’re wasting your time. He can’t speak and he doesn’t like girls. He’s a vegetable and a fruit. Jeu 29 Mai - 20:39 | |
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Zélia Flora Casari-Dawson
AGE ◮ 19 ans ; DATE DE NAISSANCE ◮ 24 mars ; LIEU DE NAISSANCE ◮ Rome, Italie ; NATIONALITÉ ◮ Italienne & Américaine (d'adoption) ; STATUT CIVIL ◮ célibataire ; ORIENTATION SEXUELLE ◮ hétéro voir bi ; EMPLOI/ÉTUDES ◮ étudiante en sciences politique ; GROUPE ◮ futures fleurs (gggb) ; AVATAR ◮ aimee teegarden ; CRÉDITS ◮ écrire ici.
I ask you everything C'est l'heure des questions baby, répond avec sincérité. Développer vos réponses, ne vous contentez pas de oui ou de non.◮ Depuis combien de temps es-tu à New-York ? Depuis 11 ans mais j'ai quitté la ville il y a trois ans et j'y suis revenue il y a 7 mois pour mes études. ◮ Que penses-tu de la guerre entre les deux clans ? Franchement ? Je comprends les GGGB, y'en a assez de la domination des élites qui se croient tout permis. ◮ Crois-tu qu'un jour tu pourrais prendre parti/as-tu déjà choisi ton camp ? Oui bien sûr, c'est ce que j'essaie de faire en ce moment même. Les élites m'ont humilié, certains m'ont trainé dans la boue, je suis bien décidé à les salir moi aussi. ◮ As-tu des proches impliqués dans la guerre ? Oui, déjà ma copine Lou veut devenir une élite, ce qui crée des tensions. Mon "meilleur ami" Aaron est l'un des leur. ◮ Selon toi, qui en sortira vainqueur ? Les GGGB, les élites se croient tellement puissants qu'ils vont descendre de leur pied d'estal. ◮ Que penses-tu de New-York ? New-York a été la ville qui m'a sauvé, donc je l'adore, même si parfois je me demande comment cela se serait passé si je serais resté en Italie. Mon père m'emmène là-bas de temps en temps. ◮ Quels sont tes activités favorites ? Faire du shopping, prendre le soleil à central park, me balader avec mes amis, aller à des fêtes hyper riches.. ◮ Te sens-tu en sécurité à New-York ? Tant que y'aura mon père et mon oncle, oui. ◮ Veux-tu rester à New-York jusqu'à la fin de tes jours ? Je ne sais pas, je n'ai pas les cartes en mains, on verra. ◮ Penses-tu avoir des amis sincères ? J'espère, Arizona et Lou, vous êtes les meilleures :3 ◮ Qu'aimerais-tu changer dans cette ville ? Les classes sociales. ◮ Quel est ton plat préféré, ton style de musique et toutes les autres choses de ce genre ? En toute italienne qui se respecte, j'adore les pâtes, je pourrais en manger à tout les repas. Je n'ai pas de style de musique, j'écoute de tout mais surtout de la musique américaine, normal. J'adore aller au cinéma, voir des films, divergente m'a beaucoup plut par exemple. J'aime chanter comme une casserole, aussi. Ca m'arrive de lire, j'adore lire du Levy ou du Musso et j'adore sortir même si papa Dawson n'est pas d'accord (a) ◮ Tu m'aimes ? Si tu es sage, oui .
This is my part ◮ chapitre 1 : La mia mama piaceva tutti lo che brilla Ma vie n'a jamais été un long fleuve tranquille. Pour commencer, je suis née à Rome en Italie. Je ne connais pas mon père, il s'est barré après ma naissance et je porte donc le nom de ma mère Casari. Elle a décidé de m’appeler Zélia parce qu'elle l'a vu dans un magazine une heure avant ma naissance. Elle a trouvé ça jolie donc voilà. J'ai grandi avec ma mère dans un appartement en banlieue. Rome était bien trop chère pour nous. Ma mère « travaille » dans une boite de nuit. A chaque fois, elle me présentait celui qui allait etre mon nouveau papa, alors qu'elle l'avait rencontré trois jours avant. Au début, c'était des gens de la même classe que nous et un jour, ma mère a eu l'idée de taper plus fort. Elle me confiait à la voisine, elle allait s'acheter des fringues hors de prix et elle déambulait dans les rues de Rome à la recherche de « pigeon » clairement. Elle rentrait dans des bars huppés, elle prenait des verres avec des avocats, des médecins et elle arrivait toujours à ses fins. On a brusquement changé de quartiers. On est passé de la banlieue à Rome même. La plupart de ces jules en avait rien à faire de moi, elle non plus d'ailleurs. Elle était contente de s'acheter des paires de chaussures hors de prix. Moi, je traînais mon nounours dans chaque maison qu'on habitait. Je ne parlais pratiquement pas. A l'école, je restais des heures silencieuses, sans sourire, sans réagir, ce qui inquiétait mes professeurs. Ma mère jouait la maman modèle, mais personne n'était dupe. J'ai souvent changé d'école primaire, je changeais souvent de quartier aussi, la supercherie de ma mère ne tenait pas bien longtemps. Ils en avaient marre de payer ses excès. Petite, je n'ai jamais connu une vie stable. Ma mère me traînait comme un boulet. Quand elle était de bonnes humeurs et avec ses copains, elle me câlinait, me faisait des bisous et me répétait qu'elle m'aimait. Moi je l'aimais ma maman, malgré tout. Je ne manquais de rien et elle m'achetait quand même quelque chose à Noël ou à mon anniversaire quand même. Quand elle était larguée par ses mecs, elle me faisait une grande leçon sur les mecs, mais le lendemain, elle repartait en chasse armée de sa mini-jupe. Je voulais que ma maman soit plus souvent avec moi, mais à chaque fois un nouveau monsieur était là. C'était tout le temps le même cirque, mais j'étais docile et je le savais qu'elle le faisait pour nous quelque part, même si c'était plus pour elle clairement. Le temps était long, vraiment.. Surtout quand je me retrouvais seul avec mes "beau-pères". Je ne pourrais pas compter combien j'en ai eu. La plupart n'avaient pas d'enfants ou ils étaient grands. Il y en a un, un italien qui m'a marqué quand même car son fils de 18 ans s'occupait incroyablement bien de moi, il venait me chercher à l'école, il me faisait à manger, il passait des heures avec moi, on faisait des dessins, il s'occupait de moi comme un véritable grand-frère mais ça a duré à peine six mois malheureusement... Puis ma mère rentra un jour, toute contente, elle était toute pimpante. Elle me sortit en italien qu'elle allait se marier et qu'on allait déménager en Amérique. Je ne connais pas encore ce type. Elle saute de joie et appelle toutes ses copines. Je rencontre ce type quelques jours après, il a l'air très gentil et il se préoccupe de moi. J'ai sept ans alors. Il me sourit et il me parle normalement et pas comme une demeuré. J'ai toujours ma peluche dans les bras et je joue les timides ce qui l'amuse. Ma mère pose sa main sur ma tête et elle lui dit que j'ai peur des hommes à cause de mon père ce qui n'est pas vrai. Je me cache derrière sa jambe et son accent américain ne me rassure pas. Il se met à ma hauteur et commence à me parler. Il me dit qu'on allait former une vraie famille tous les trois. Je le regarde et serre fort mon doudou. Je n'ai que ma maman, je ne sais pas ce que c'est une famille. Il voulait passer le plus de temps avec moi. Avec ma mère on restait un an en Italie même si James Dawson venait souvent nous rendre visite. Il avait toujours quelque chose pour moi et il se comportait vraiment comme un père. On passait beaucoup de temps tous les deux l'un contre l'autre. James Dawson est celui qui m'a sauvé la vie et celui qui m'a appris à m'épanouir. Depuis, je parle beaucoup plus, je raconte à tous que mon papa Dawson c'est un héros. J'ai des amis, tout vas pour le mieux. J'apprends même l'américain avec lui. Je pourrais en parler des heures de James. Ma mère est très contente, tant qu'il lui laisse sa carte de crédit. Ils se marièrent à Rome avec les amies de ma mère puis on a prit l'avion quelques jours plus tard pour déménager en Amérique. Je n'y croyais pas. Je ne réalisais pas que je quittais mon pays natal. ◮ chapitre 2 : american dreamLa première fois que j'ai posé un pied à New-York, il faisait très froid. Lorsqu'on était sortie de l'aéroport tous les trois, je voyais déjà la différence entre New-York et Rome. Je tenais la main de ma mère très fort et je regardais les gens pressés, au téléphone, avec leur grosse mallette, se précipitaient pour prendre un taxi. Les hauts buildings me faisaient un peu peur. Je ne comprenais pas pourquoi les gens voulaient y vivre. Papa Dawson nous emmena dans son appartement qui se trouvait à une demi-heure de l'aéroport. Je regardais défiler le paysage, je ne comprenais pas trop. Le visage de ma mère s'illuminait. Elle l'embrassait et profitait de ce voyage. Je suis arrivé dans un quartier huppé, un quartier riche. J'avais de petites bases en Anglais, comme ma mère. Il nous a payé des cours particuliers, chaque soir, on répétait des exercices de compréhension, de diction, l'orthographe. Parfois, je me contentais de répéter bêtement sans comprendre, parfois j'y mettais vraiment du mien. Pendant un an, j'ai fais l'école à la maison, je n'étais pas prête à intégrer une école avec le faible niveau que j'ai. Avec les encouragements de mon « père » j'ai rattrapé mon retard, même si ça n'a pas été facile. A neuf ans, je rentrais dans mon école primaire. Je me rappelle encore de la tête de mes camarades. Ils me dévisageaient, m'analysaient, moi la nouvelle. Je baissais le regard au début, quelque secondes avant de leur faire face. Je faisais semblant d'avoir de l'assurance alors que je n'en avais pas. La maîtresse m'a demandé de parler. Je redoutais ce moment, je me levais et allais devant le tableau, avec une boule au ventre et je commençais à parler. Les petits marrants se mirent à rire à mon accent, mais la plupart ne firent rien.. Je retournais m'asseoir, les joues en feu et à la récré, des filles sont venus me voir. Ca m'a énormément fait plaisir. Quelques temps après mon arrivée, je rencontrais LJ et son père tonton Anderson ainsi que la sœur de Papa Dawson. Anderson était vraiment froid, on sentait qu'il n'était pas bon. LJ c'était pas pareil, elle avait l'air douce et très jolie. On a joué ensemble toute la journée, on a appris à se connaître. Au final, je ne voulais plus partir, j'avais l'impression que quelque chose s'était passé entre nous, comme une connexion. Ma mère parlait avec une amie du père de LJ, elles avaient l'air de bien s'entendre. On sentait un peu que c'était tendu entre James et son ancien beau-frère, je ne sais pas trop pourquoi. En tous cas, mon père s'était proposé de prendre LJ pendant les vacances scolaires, pour passer un peu de temps avec sa nièce. Tonton Anderson, a vraiment eu du mal à dire oui, mais James ne lui laissait pas vraiment le choix. Cela arrangé Anderson dans le fond, donc depuis que j'ai huit ans, je vois LJ souvent, aussi souvent que l'on peut. On s'amuse comme des folles. On a le même âge en plus, elle m'a aidé à amélioré mon Américain et à me soutenir dans certains cours. Quand j'ai eu neuf ans. Papa Dawson me fit une demande qui me surprit un peu : il voulait m'adopter. Il me demande à moi avant d'en faire part à ma mère. J'accepte même si je ne sais pas trop ce que cela s'implique. Surtout qu'entre Papa Dawson et ma mère, plus grand chose ne va. Ils se disputent souvent en ce moment, comme avec les anciens messieurs qui ont traversé ma vie. A chaque fois que le ton monte, je tremble, espérant que papa Dawson ne va pas disparaître de ma vie. Le fait qu'il veuille m'adopter me prouve le contraire. Il lui soumet l'idée le soir-même, elle accepte. Elle sait combien je l'adore et combien on passe du temps ensemble lui et moi. C'est ce qui lui manquait, un enfant. Il m'a toujours considéré comme sa propre fille et n'a jamais laissé personne m'importunait. Jamais. Il a toujours cédé aux moindres caprices, j'ai juste à l'amadouer un petit peu. Il sait être sévère aussi quand je vais trop loin. Heureusement pour lui. Ma mère ne l'avouera pas, mais je sais qu'elle est jalouse de notre relation. Il s'intéresse un peu plus à moi qu'elle, elle a parfois l'impression qu'on est en concurrence, mais il ne nous porte pas le même amour. Ce qu'elle a du mal à comprendre. Elle s'énerve parfois pour un rien, elle fait la razzia dans les magasins. Elle me dispute pour rien parfois, je commence à me rebeller, ce qui ne lui plaît pas. ◮ chapitre 3 : new dadL'adoption fut officielle l'année de mes onze ans. Cela a été facile vu que mon vrai père ne s'est jamais manifesté. Maintenant, je m'appelle Casari-Dawson. On a fait une grande fête tout ça dans notre maison de vacances dans la banlieue, près de la mer. Tout le monde était là même LJ, on partait ensuite à Rome faire un petit voyage pour que je n'oublie pas mes racines. La plupart de mes étés, nous les passions en Italie avec ma mère et mon père maintenant. On allait en Sicile, à Florence, à Rome. Je pratiquais ma langue maternelle, je voulais continuer à la manier à la perfection. J'emmenais tout le temps LJ avec moi, pour qu'elle ne reste pas avec lui. Elle ne s'entendait pas bien avec lui. Depuis quelques temps, la situation entre mon père et son ancien beau-frère se dégrade. Ils ont failli en venir aux mains plus d'une fois. A chaque fois que j'évoque ça avec Papa Dawson, il se ferme comme une huître, refusant de dire quoi que ce soit. LJ aussi se ferme. Avec moi, il est plutôt cool. Je n'ai rien à dire sur Tonton Anderson. C'est peut-être ça qui les tue tous un par un dans ma famille. Un an après mon adoption, au mois de février, je rentrais chez moi après l'école, comme tout les jours. Il avait neigé ce jour-là, j'étais morte de froid. J'enlevais mes chaussures et mon manteau et je profitais du feu qui était déjà allumé et qui réchauffait le salon. Je me posais devant pour me réchauffer, je criais le nom de ma mère mais je n'avais pas de réponses. Je haussais les épaules et je restais devant. Une présence se mit alors derrière moi, je me retournais et vit mon père qui avait les yeux rouges, légèrement. Je fronçais les sourcils, lui demandant ce qu'il se passe. Il me répond que ma mère nous a abandonné, pour un autre type, un type plus riche que lui sans doute. Il est au plus mal, je vois aussi qu'il est énervé mais qu'il se contrôle parce que je suis là. Ma mère n'a jamais été la meilleure mère du monde, mais elle n'aurait jamais fait ça, je refuse de le croire. Je monte à toute vitesse dans leur chambre et me dirige dans leur dressing. Il reste seulement les affaires de mon père, je redescends et je le prends dans mes bras. Maintenant, c'est lui et moi contre le monde. Je ne verse pas une larme, sans doute surprise par ça. Je n'arrive pas a y croire, il doit forcément se tromper. Je l'aime ma mère, vraiment. Même si elle n'a pas toujours été tendre avec moi, j'avais l'impression qu'on formait une famille mais son âme s'est noircit par l'argent. Elle en demandera toujours plus. J'ai mal, je me sens abandonnée et je me sens tellement.. impuissante. A partir de ce moment-là, je commence à me chercher. Papa Dawson me cède, sachant que je suis sous le choc. Je me teint les cheveux en blonds. Je commence à sortir, à vouloir faire la fête. Je me renferme aussi sur moi-même. Mon père fait la même chose sauf qu'il ne sort pas et il m'attends pendant des heures. Je rencontre une bande de potes, plus âgés que moi et je commence à traîner avec eux. On est proche, surtout avec Tyreek. Tyreek, il est adorable et il ne me traite pas comme une simple gamine, ce que j'apprécie. On s'est confié plein de choses lui et moi. Mes copines de cours sont vertes d'ailleurs quand je leur dis ce qu'on fait la petite bande et moi. Je les trouve super cool, ils m'apprennent plein de trucs. Je suis un peu le bébé du groupe et je trouve ça drôle. Ils me protègent tous. On est un peu comme les mousquetaires sauf qu'on est plus nombreux, un pour tous et tous pour un. J'apprécie vraiment passer du temps avec eux. Mon père, pas vraiment mais son avis m'importe peu. Mes notes sont en chutes libres, ça ne me fait rien du tout.. Il me punit, mais je désobéis ou je le manipule gentiment. C'est mon sauveur, il ne me laisse pas tomber au moins. La meuf de Tyreek est tombé enceinte. Je ne vous cache pas que cela m'a choqué. Au début, je voulais le soutenir, comme une bonne copine l'aurait fait mais au final, je l'ai laissé tombé comme les autres de la bande. En même temps, il n'avait jamais le temps pour nous. J'ai eu peur aussi, un enfant c'est une responsabilité, je n'étais pas assez mature pour prendre conscience de quelqu'un d'autres que moi-même, tout comme ses copains. Il m'en a voulu, je m'en suis voulu aussi, mais comment revenir ? ◮ chapitre 4 : you broke my heartPremier amour au goût amer. C'était deuxième année au lycée, j'avais seize ans. L'élite me faisait rêver comme toutes les filles. J'ai postulé pour avoir le titre après Blair et Serena. Elles m'en ont fait baver comme jamais. Elles nous manquaient clairement de respect, surtout Blair, qui a toujours cru que tout lui était dû. Pour moi, c'était qu'une passade, quand je leur aurais prouvé ce que je vaux, tout irait mieux. Je traînais avec un petit groupe quand un grand brun, un footballeur de deux ans mon aîné est venu me parler. Son nom Aaron Stanford. Le plus beau garçon de St Jude, du moins l'un des plus beaux. D'un ton plein d'assurance, il me dit qu'il me trouvait jolie et que le blond m'allait bien. On était au milieu de l'année. Je ne pensais pas qu'il me remarquerait. Je le remercie. On passe du temps ensemble, on s'échange nos numéros de portable, on passe des heures au téléphone et sur le net. On se dispute, on s'amuse, je me sens réellement dans ces bras. J'ai l'impression qu'on est en phase. Je vais le voir à tout ces matchs. Il vient tout le temps me chercher. Je sens vraiment que c'est moi qu'il veut et personne d'autres. Un jour je cède enfin et je le laisse m'embrasser, après un match où il a joué comme un dieu. Des millions de papillons, la joie, cette ivresse d'amour m'envahit. On commence à sortir ensemble, si je peux appeler ça. J'étais vraiment amoureuse de lui. Je vis sur mon petit nuage. Je deviens agréable, vraiment. Mon père ne me reconnaît pas. Pour la première fois, je trouve enfin quelque chose pour apaiser ma douleur après le départ de ma mère. Un mois après, il me brisait littéralement le cœur. Ce n'était qu'un stupide pari avec ces potes. Le pire c'est qu'il en rigole. Il ne se sent pas coupable d'avoir joué avec mes sentiments, c'est vrai, il peut avoir toutes les filles qu'il veut. Blair m'enterre littéralement avec cette histoire. Je suis la risée de tout Constance. Malgré tout, les premiers jours, je suis forte, j'y vais pour leur montrer que cela ne m'atteint pas alors que je suis détruite. Je pars me réfugier chez LJ et plus précisément chez son père. Son père froid, qui peut être violent. Je veux qu'il m'endurcisse. On se rapproche. Je ne connais pas ses activités, mais je sais que c'est illégal. LJ ne voit pas ça d'un très bon œil, mon père non plus, il me supplie de revenir. Ce n'est pas pour lui que je fais ça. Je veux être plus forte que tous ces crétins. Je me mets à l'informatique. Je commence à devenir une vraie geek. Internet est ton meilleur ami quand tu sais t'en servir.. ◮ chapitre 5 : High School yearsMon oncle m'héberge le temps de mes années lycées. En parrallèle, je développe mon don pour l'informatique, j'adore ça et y découvrir ce que je veux. Une vraie geek, mais qui sait qu'il y a une vie à l'extérieur. Je continue de sortir, je fais la fête avec des potes. LJ part à New-York, avec Papa Dawson, il me demande des centaines de fois de revenir, mais je sens que je n'ai pas fini. Ils ne vont pas s'en sortir comme ça. Tonton Anderson et Papa Dawson échangent leur fille, sauf que LJ se met en couple avec son copain, ce que je trouve désolant. On est encore jeune, il faut en profiter, moi je me fais plaisir. Anderson il s'en fiche de ce que je fais même si je sais qu'il garde un œil sur moi, comme un père. Je travaille pour lui de temps en temps, je lui montre que je le suis redevable mais ce n'est rien de bien méchant, c'est ce qu'il apprécie, je n'ai pas peur. Je me reprends en main à ma dernière année de lycée, pour faire des études de sciences politiques. Je demande des facs à New-York pour le grand plaisir de papa Dawson. Il s'en veut alors qu'il n'a rien fait. Je l'aime toujours autant mais même si cette ville m'a sauvée, elle m'a en partie détruite. Aaron l'a fait, il a vu que j'étais trop gentille et il a utilisé mes faiblesses contre moi. Cette histoire m'a suivi, ce qui fait que j'ai du mal à faire confiance à un homme. J'adore les embrasser mais pour ce qui est d'en avoir qu'un, j'ai du mal. Quand un mec me demande du sérieux, j'ai tendance à me barrer en courant et quand je ne le fais pas, je suis toujours déçue. Aujourd'hui, plus forte, les remarques des autres ne m'atteint plus et je sais me battre, je ne suis plus aussi gentille, j'ai ouvert les yeux sur le monde, tout n'est pas beau et tout n'est pas rose malheureusement. La vie est une lutte et je ne laisserais pas les autres avoir un coup d'avance sur moi. ◮ chapitre 6 : new girl1er octobre 2013, je fais ma rentrée à Brown pour des études de sciences politiques, ce que je veux. Je vais essayer de rester une élève modèle. Je reprends possession de ma chambre pour le plus grand plaisir de mon père. Je reprends mes habitudes acquises chez Anderson. Je geek et je sors. Je fais également du sport, je vais dans une salle de gym parfois ou je cours, ou bien j'en fais chez moi, dans notre grand appartement. J'ai croisé Tyreek la dernière avec sa fille et ça m'a fait mal au cœur. Je vois LJ avec son mec et je ne sais pas trop mais je ne le sens pas, mais elle a l'air amoureuse de lui, si je vois qu'il lui fait du mal, je le tue et je n'ai aucune pitié, parole de Dawson. Rien a changé, la monarchie reste la monarchie. Toutefois, je me suis inscris dans l'autre camp, mais ils veulent des preuves. Coup du pouce du destin, mon meilleur ami est au trente sixième dessous, sa copine l'a largué ou je ne sais pas quoi. Je suis bien décidé à le mettre plus bas que terre. Pour cela, j'ai changé ma couleur de cheveux, je ne m'appelle plus Zélia pour lui mais Flora. Je le manipule, je fais semblant d'être gentille pour le moment. Je veux l’entraîner dans le bas comme il l'a fait pour moi. J'ai eu mal, trop mal, je ne méritais pas ce qu'il m'a fait. Non, pas du tout. Il s'en ai pris à la mauvaise personne. Clairement. Je n'ai pas peur de ces répresailles, j'ai peur de personne, parce que je sais que je suis bien protégé. Anderson me l'a promis. Il protège sa fille aussi, mais elle ne le sait pas. Je veux entrainer Blair dans les démons, pas mal d'élites, je veux leur montrer que je suis une menace aussi. Je ne suis plus la jeune femme naive qu'ils ont connu. Je suis un danger, comme Gossip Girl, il faut se méfier. Ma confiance on la gagne durement mais on la perd rapidement aussi. Et quand je considère que j'ai des amis, j'ai tendances à les surprotéger, parole de Dawson.
Tell me who you are PSEUDO ◮ wild.hapiness ; PRÉNOM ◮ angel ; AGE ◮ demain c'est mon anniversaire (:; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? ◮ je l'ai crée avec les folles ; COMMENT LE TROUVES-TU ? ◮ no comment; PRÉSENCE ◮ 5 sur 7 ; UN PETIT MOT ◮ je t'aime putain ! ; CODE ◮ pk by moi-même
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Dernière édition par Zélia F. Casari-Dawson le Jeu 5 Juin - 1:24, édité 9 fois |
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