April L. Williams
information✤ Ragots échangés : 318 ✤ A N-Y depuis : 13/06/2012 My lifeMy lifeStatut civil : célibataireAge de ton personnage: vingt-quatre ansRelationships:
| Sujet: APRIL ☂ i'm already torn. Lun 27 Aoû - 17:42 | |
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april leandrah krystal williams AGE ◮ dix neuf ans ; DATE DE NAISSANCE ◮ vingt avril ; LIEU DE NAISSANCE ◮ sacramento, californie ; NATIONALITE ◮ américaine ; STATUT CIVIL ◮ paumée, ça marche ? ; ORIENTATION SEXUELLE ◮ j'aime les pénis, ça vous renseigne sur la question ? ; EMPLOI/ÉTUDES ◮ étudiante en musique ; GROUPE ◮ upper east side ; AVATAR ◮ dakota fanning ; CRÉDITS ◮ tumblr
C'est l'heure des questions baby, répond avec sincérité. Développer vos réponses, ne vous contentez pas de oui ou de non. ◮ Depuis combien de temps est-tu à New-York ? J'ai vécue un ans à New-York, deux à Sacramento, deux à New-York, deux autres à Phoenix, un en Angleterre, puis je suis retournée à Sacramento pour deux ans, pour enfin revenir sur New-York et ne plus y bouger. Donc ça fait neuf ans que j'y suis, mais j'y ai vécu douze ans. Compliqué ? Attendez, ça c'est que le début. ◮ Que penses-tu de la guerre élite/gggb ? qu'ils se battent, et puisse le sort leur être favorable. ◮ Crois-tu qu'un jour tu pourrais prendre parti/as-tu choisi ton camp ? si je choisi les ggbb je risque d'être privé de vodka pour le restant de mes jours, donc, par élimination, l'élite. ◮ As-tu des proches impliqué dans la guerre ?: ma cousine, des amis, toussa toussa. ◮ Selon toi, qui sortira vaincueur? : je sais pas, mais toujours par soucis de sécurité pour ma consommation personnelle de vodka, ça serait préférable que l'élite s'en sorte. ◮ Que penses-tu de New-York : c'est cool, et vivant. je veux dire, tu peux faire la fête quand tu veux, il y aura toujours un endroit qui t'accueillera. donc, c'est cool. ◮ Quels sont tes activités favorites ? : dormir. faire la fête. dépenser mon argent. puis après.. je sais pas. ◮ Tu sens-tu en sécurité à New-York? : personne n'a jamais essayé de me tuer, donc oui, ça va. ◮ Veux-tu rester à New-York jusqu'à la fin de tes jours ? : tu sais que tu commences à me faire doucement chier avec tes question ? je sais même pas ce que je vais faire demain, alors qu'est ce que tu viens me bassiner avec la fin de mes jours ? ◮ Penses-tu avoir des amis sincères ? : j'espère pour eux. ◮ Qu'est-ce que tu aimerais changer dans cette ville : ma cousine ? ◮ C'est quoi ton plat préféré ? & ton style de musique et tous ces trucs là : Les pâtes à la carbonara. Mon style de musique, c'est plutôt de tout ce qui est rock, alternative, pop, c'est choses là quoi. J'aime les chats, c'est mignon les chats. Ma couleur préférée c'est le bleu. Je suis amoureuse de Peter Pan. J'aime pas la campagne. Mon fruit préféré c'est les cerises. ◮ Tu m'aimes ? : répondre ici
cinq ans. — new york. « Maman, pourquoi y'a des monsieurs en bleu qui mettent mes affaires dans un camions ? » s'inquiéta la fillette, serrant fort son doudou contre sa poitrine. « Oui, et cette table là aussi, et faites attention s'il vous plait, je l'ai eu en Inde, elle vaux certainement plus que n'importe lequel de vos salaires ! » piailla une voix sur-aigü. « Maman ? » recommença la fillette. « Quoi ? Oh, c'est parce qu'on déménage ma chérie ! » « On s'en va de cette maison là ? Mais je veux pas partir maman ! » « Allons, ne fait pas l'enfant April, et va dans ta chambre ! » puis elle reparti sans autre forme de procès pour reprendre ses directives laissant la petite au beau milieu du salon, toute seule face à l'annonce qu'on venait de lui faire, et que personne n'avait prit le temps de lui expliquer. Elle s'assit au centre du salon, regardant les hommes en bleu empaqueter toute sa vie, pour l'emmener elle-ne-sait-où. « Mon chaton, qu'est ce qu'il t'arrive ? » s'inquiéta une voix mélodieuse derrière elle. « Paaaapa ! » cria la jeune New-Yorkaise en sautant au cou de son père. « Papa, papa je veux pas partir ! Je ne pourrais plus voir Lullaby, et j'ai même pas dit au revoir à Siobhàn, je veux pas partir papa. » balbutia t-elle, au bord de la crise de larmes. « Schut, calme toi ma puce. On est obligé de partir, pour le travail de maman. Mais on part dans une ville où il y a toujours du soleil, et où il fait toujours chaud. Si tu veux, avant de partir on passera chez Siobhàn et tu pourras lui dire au revoir. » dit-il d'une voix posée. « Et quand on arrivera à Phoenix, je t'offrirais une immense glace. » « Avec un côté menthe, et un côté chocolat ? » « Oui ! » « D'accord. » accepta t-elle finalement. Son père avait toujours été plus attentif et démonstratif avec April. Pas que sa mère ne l'aime pas, seulement elle est persuadée qu'il lui suffit de lui acheter des jouets hors-de-prix pour jouer pleinement son rôle de mère. April ne lui en veux pas, elle ne comprend juste pas pourquoi elle réagit de cette manière avec elle.
dix ans. — new-york « Mais maman ! Je veux retourner à l'école où j'étais quand j'étais petite ! » « Tu dis n'importe quoi April. Tu sais très bien que cette école et bien plus prestigieuse que le minable établissement où tu allais étant enfant. » « J'en ai rien à faire qu'il soit prestigieux ou pas ! Je veux retourner dans la même école que Siobhàn ! » « April Leandrah Krystal Williams ! Tu surveilles ton langage, et tu disparais dans ta chambre ! Je ne veux plus te voir jusqu'au diner. » A bout de nerf, elle parti en courant dans sa chambre, s'engouffrant sous sa couette pour hurler de toute ses forces. Quelques minutes plus tard, c'est son père qui vint la voir. « Pourquoi t'es là ? » demanda t-elle sèchement. « Pour savoir ce qu'il se passe ? » « Je veux retourner dans la même école que Siobhàn. Et maman, elle dit que cette école n'est pas bien, parce qu'elle veut que je prenne des cours de français, mais moi je ne veux pas. Je veux être avec Siobhàn et faire de la musique. » expliqua t-elle à son père. Siobhàn était la seule personne dont elle est gardé un souvenir très clair, mise à part sa cousine. Elle ne l'avait pas encore revu depuis son retour à New-York, mais savait qu'elle voulait le revoir. « Je ferais ce que je peux. Mais, tu sais on ne reste pas ici très longtemps. L'an prochain, on ira certainement autre part. » « Ca sera toujours un an avec lui. C'est le seul que je suis sûre de connaître ici. » « Je comprends. Je ferais tout pour que tu ailles dans l'école que tu veux, mais tu devrais arrêter d'attiser la flamme avec ta mère. C'est pas comme ça que tu obtiendras ce que tu veux. » « Si tu le dis. » bougonna t-elle, avant que son père ne tourne des talons. « Papa ? » il la regarda, et elle tendit les bras vers lui afin qu'il la prenne dans ses bras. Il s'exécuta, puis finit pas s'éclipser pour de bon.
treize ans — new-york Un silence glacial s'était installé dans la villa. April descendait les marches une à une, chaque pas sur le carrelage lui glaçant un peu plus les pieds. L'hiver était déjà bien entamé, mais c'était l'atmosphère qui régnait chez les williams qui rendait l'endroit plus froid encore. La petite blonde se dirigea vers sa mère dans le salon. Elle était livide, ses yeux inexpressifs perdu dans le vide, son corps figé par la douleur. « Maman ? » tenta de comprendre la jeune Williams, mais rien ne se passa, pas un clignement d'oeil, pas un geste. Elle était assise et ne bougeait plus. « Maman ? » réitéra t-elle, un peu plus fort, en s'approchant encore. Pas de réponse. « Maman, qu'est ce qu'il se passe ? » implora t-elle, la voix brisée, ravalant ses larmes. Elle se posta devant la femme inerte, qui ne daigna même pas la regarder. La crainte se transforma en angoisse et elle perdit patience. « Maman ! » hurla t-elle. « Répond moi ! Dit-moi ce qu'il se passe bordel, dit moi ce qu'il y a ? Arrête de fuir les problèmes pour une fois, et fait face, dit quelque chose ! Dit-moi ce qu'il y a ! Répond ! Dit quelque chose ! » s'emporta t-elle dans un torrent de larmes. La femme leva les yeux sur le visage inondé de sa fille, mais toujours dans sa léthargie, elle se contenta de lui annoncer, d'une voix grave mais détachée « Ton père et mort. » puis elle parti. Elle laissa April seule avec cette nouvelle. Elle parti s'enfermer dans son bureau, annonçant à demi voix qu'elle avait du travail. Avoir du travail dans une situation pareille ? April ne pouvait pas affronter ça toute seule. Si sa mère l'abandonnait maintenant, elle l'abandonnait pour tout le reste. La jeune blonde enfila des chaussures et, le visage encore inondé de larmes, elle se rendit dans l'Upper West Side pour se retrouver devant l'appartement de Sio. Elle frappa et se fut sa mère, souriante et pleine d'amour qui ouvrit la porte. « Sio' c'est pour toi ! » annonça t-elle avant de prendre conscience que la petite avait l'air dévasté. Elle ne dit rien, préférant laisser le soin à Siobhàn de s'occuper de la jeune Williams. « Entre April, Sio' arrive. » l'accueillit-elle gentiment. Le jeune fille s'avança vers la chambre de son meilleur ami, et y entra après que celui-ci lui ai dit d'entrer. « Sweetie, qu'est ce qu'il se passe ? » S'enquit-il, en l'emmenant jusque sur son lit. Elle esquissa un mot, mais lorsqu'elle pensa à la phrase qu'elle allait prononcer, ses sanglots reprirent de plus belle. Le jeune garçon, de deux ans son aîné, l'encercla de ses bras, attendant qu'elle se calme. Il dessina des ronds dans le dos d'April avec la paume de sa main, la serrant un peu plus encore contre lui. « Mon père est mort. » finit-elle par avouer à mi-voix, avant de se remettre à pleurer. Elle resta toute la soirée chez les Lawrence, elle partagea le repas avec eux, mais ne parla pas énormément. Ils la laissèrent s'enterrer dans son mutisme, mais préféraient qu'elle soit là que toute seule chez elle. C'est pour ça qu'après le repas, la mère de Sio lui proposa de rester dormir. Elle accepta, remerciant d'une étreinte chaleureuse la femme entre deux âges. Siobhàn gonfla un matelas et prêta son lit à l'adolescente. Elle alla rapidement se coucher, n'ayant plus la force de rien d'autre, mais ne parvint pas à dormir. Siobhàn, allongé sur son matelas juste à côté d'elle, ne pouvait ignorer les sanglots silencieux d'April. Il se leva, et le plus naturellement du monde vint se glisser contre elle, enfouissant son visage dans ses cheveux blonds, et passant un bras autour de sa taille pour apaiser ses spasmes. Soulagée par ce contact, April finit tout de même par s'endormir.
quinze ans — new-york. Elle passait la plus part de ses nuits dans l'Upper West Side à présent, trouvant toujours refuge dans les bras de Siobhàn. Mais, elle goûtait surtout au plaisir que sa nouvelle indépendance lui laissait. Elle avait reprit le dessus quant à la mort de son père, même si ça restait toujours douloureux, elle allait beaucoup mieux. Elle était méconnaissable, rayonnante. Et porté sur l'alcool. Elle avait découvert les biens fait de l'ivresse, non seulement ça lui montait à la tête très facilement, mais en plus ça l'anesthésiait toute entière, elle ne ressentait plus l'absence de son père, mort et de sa mère, indifférente. Elle était délivré de ses problèmes, et était totalement heureuse. Elle n'avait plus à cacher sa douleur, puisqu'elle s'envolait. Alors elle écumait les boites de nuit et autres clubs de tout new-york, presque chaque nuit. Elle s'amusait, comme elle ne l'avait encore jamais fait. Elle était chez elle, en train de payer les déboires de sa soirée d'hier, la tête dans la cuvette des toilettes quand quelqu'un sonna. Le bruit lui résonna dans les tempes et elle vida de plus belle tout son estomac. Quelques secondes suffirent à sa cousine et son oncle pour venir se poster derrière elle. Elle tourna la tête, le teint blafard, le front ruisselant de sueur. Son oncle commença à déblatérer tout un tas de choses qu'elle n'arrivait pas à comprendre, tout ce qu'elle retint de son immense monologue c'est qu'il allait appeler sa mère - comme si elle en avait quelque chose à faire ? - et qu'elle devait suivre Lullaby. Sa cousine l'emmena direction la salle de bain, et elle la foutu sous de l'eau gelé. Il fallut bien deux minutes à April avant de se rendre compte que l'eau lui glaçait la peau et de protester. Elle ronchonna, l'estomac en vrac et la tête encore douloureuse, quand Lullaby la serra dans ces bras. « J'crois on va vivre ensemble ! » dit-elle, enjouée. Qu'est ce qu'elle avait encore pris elle ? La pilule du bonheur ? Mais April finit par comprendre ce que sa cousine venait de lui annoncer. Elle emménageait dans la villa Williams. Enfin, l'autre villa Williams. Vous avez intérêt de ranger les affaires qui cassent.
quinze ans — new-york Elle entra dans l'appartement de l'upper west side, comme s'il s'agissait de chez elle, et fonça tête baissé vers la chambre de Siobhàn. Elle se posta dans l'encradrement de la porte, et fusilla son meilleur ami du regard. « Attends, laisse moi deviner.. Ta cuisinière attitré a oublié de mettre du sucre dans ton café ce matin ? » plaisanta le garçon, lui lançant comme à son habitude une vanne quant à son statut social. En temps normal, April se serait lancé dans une longue explication durant laquelle elle aurait dit qu'elle n'avait pas de domestique, que tout ça c'était pas pour elle, et qu'elle avait pas besoin qu'on la serve. Ou alors elle aurait renchérit du tac au tac sur une vanne d'autant plus sarcastique. Mais aujourd'hui elle se contenta de croiser les bras contre sa poitrine, fusillant toujours le jeune américain du regard. « Bon, tu vas me dire ce qui ne va pas ou je vais avoir besoin d'appeler le FBI pour t'extirper des informations ? » s'impatienta t-il. « Je veux pas que tu partes. » « C'est donc ça. Ma mère t'as appelé ? » « Oui. » lâcha t'elle sèchement. Il soupira, et tapota son lit pour lui dire de venir s'asseoir auprès de lui. Elle vint se blottir contre son torse. Il caressa longuement les cheveux blonds de sa meilleure amie, la regardant. Il aurait voulu ne jamais la quitter, mais avait il vraiment le choix ? « Je suis désolé sweetheart. » souffla t-il simplement. Elle glissa ses doigt contre les siens, et serra sa main dans la sienne. Elle ne voulait pas le voir partir. Elle l'avait tellement abandonné, durant tout ses déménagements, qu'elle ne pouvait pas lui en vouloir de déménager à son tour, mais ça ne changeait en rien le fait qu'elle ne voulait pas le voir partir. « Tu fais chier Lawrence. Vraiment. » bougonna t-elle. « Je te retourne le compliment, Williams. » répliqua t-il en souriant.
seize ans — new-york « Donc, tu ne reviendras pas à New-York ? » soupira la jeune blonde. Son meilleur ami, à l'autre bout du fil, lui affirma ce qu'elle redoutait, il ne reviendra pas. Ca faisait un an qu'il était parti, laissant pour elle un grand vide. Elle aurait très bien pu acheter un billet d'avion et aller le rejoindre pour les vacances, mais il n'avait pas voulu lui dire ou il habitait à présent. « Je vais pas survivre sans toi, tu sais ? Tu te rends comptes, Lullaby ne veut même plus que je bouffe dans la salle de bain ! Elle dit que je fou de la bouffe partout. C'même pas vrai en plus. » un rire s'échappa du téléphone, ce qui fit rire à son tour la jeune blonde. « Bon, je dois te laisser j'ai des trucs à faire, je te rappelle ce soir ! » underco underco underco
dix-sept ans — new york uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc uc
PSEUDO ◮ little m. ; PRENOM ◮ marie ; AGE ◮ quinze ans ; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ◮ allez savoir ._. ; TU LE TROUVES COMMENT ◮ il est bandant ! ; PRESENCE ◮ je sais pas ; UN PETIT MOT ◮ courgette ; CODE ◮ mangeons des bananes vertes.
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Dernière édition par April L. Williams le Dim 3 Fév - 19:09, édité 12 fois |
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Clelia Addison-Pawelski
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