Can You Feel the Love Tonight.. [PV Charlotte]

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« Charlotte & Nathaniel »

Savez-vous ce qu'il en coute d'être heurex de nos jours ? C'est très compliqué de l'être, et encore plus de l'être à long terme. Il y a plusieurs sources de bonheur, suivant les personnes. Chuck par exemple, est heureux quand il à de l'argent et que ses projets arrivent à terme. Serena est heureuse quand elle à la dernière robe du plus grand créateur, et Blair est heureuse.. Avec Chuck. Bon, je ne devrais peut-être pas le dire ainsi, mais c'est le cas et tout le monde le sait sauf eux. Moi, mon bonheur du jour, c'était elle. Une jolie blonde, qui dors encore à mes côtés, et que j'observe depuis une bonne dizaine de minutes. D'accord, ça doit surement faire un peu psychopathe, mais je suis heureux avec elle. Et j'aime l'observer quand elle dors, son visage est apaisée, et elle rayonne de bonheur. Parfois j'aimerais plonger dans sa tête et voir de quoi, ou de qui elle rêve. Là, dans notre lit, sous les draps blanc, nous sommes bien. Ensemble. Un coup d’œil au réveil montre qu'il est presque onze heure du matin, alors avec un sourire je me lève et me dirige vers la cuisine de l'appartement. Chuck n'est pas là aujourd'hui et j'en suis ravi, je peux donc déambuler dans notre logement en boxer sans que ça ne gène personne. Nous ne sommes que tous les deux ce matin, et j'ai décider de lui faire plaisir au réveil. Je prépare un petit déjeuner pour nous deux, et je pose une petite enceinte bluetooth sur le plateau de petit dej'. Je met une musique au volume assez bas pour ne pas la faire sursauter, et je prépare de quoi manger en dansant tout seul comme un abrutit dans la cuisine. Je ne sais pas combien de temps j'ai mis à préparer le petit déjeuner, mais quand je retourne dans la chambre, ma belle dort toujours. Je l'observe encore quelques secondes et pose le plateau sur le lit. M'asseyant à ses cotés, je l'embrasse sur le front. « Bonjour ma belle au bois dormant.. » Je suis un gros gamin, je le sais. Mais les Disneys sont trop bien ce n'est pas de ma faute ! Et puis elle est belle, et elle dort. Donc ce surnom lui va très bien. Je n'aime pas réveiller les gens, mais le petit dej' va être froid si je ne la réveille pas maintenant. Je ne savais pas ce qu'elle voulait, alors j'ai fais un peu de tout. Du café, des tartines de beurre et de chocolat, et deux verres de jus d'orange. Si elle veut autre chose elle n'aura qu'a demander. J'attends qu'elle se réveille et lui sourit ensuite. « Bien dormit ? » Je suis heureux. Voilà, c'est ça ma définition du bonheur.

Can you feel the love tonight

So honey now take me into your loving arms, kiss me under the light of a thousand stars, place your head on my beating heart and I’m thinking out loud that maybe we found love right where we are.

Si on regarde dans le dictionnaire, la définition du bonheur se résume à ça : Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents. Je suis plutôt d'accord avec eux sauf que moi, mon bonheur se résumais en un prénom. Nathaniel. Depuis que cet homme était entré dans ma vie quelques semaines auparavant, je me sentait comme invincible, comme si rien ne pouvais m'atteindre. J'étais heureuse à en crever. C'est con dis comme ça, j'en ai bien conscience, mais putain, cet homme était absolument adorable. Il était gentil, romantique, drôle, intelligent et terriblement beau. J'étais bien avec lui, vraiment bien. Je n'étais pas amoureuse, mais j'avais un réel coup de cœur pour ce type et venant de moi, c'était déjà un exploit. Il faut croire que New-York changeais les gens. J'aimais bien être avec lui, déambuler dans les rues de la grosse pomme avec lui à mes côtés, me réveiller chaque matin et le voir à côté de moi, j'étais bien avec lui, tout le temps.
J'ouvrais doucement les yeux et une musique me parvenais doucement aux oreilles, c'était agréable et doux. Je tournais la tête et tombais sur Nate qui me regardais revenir au monde réel. J'ignorais depuis combien de temps il me regardais comme ça, mais je m'en foutais, je trouvais ça juste trop mignon! « Bonjour ma belle au bois dormant.. » Il posais un baiser sur mon front et un sourire apparaissait presque immédiatement. « Bonjour mon beau prince charmant. » Je souriais de nouveau posais un baiser sur ses lèvres douce. Mes yeux se posèrent ensuite sur un petit plateau que m'avais préparer mon petit ami. Du café, des tartines et pleins de petites choses à grignoter. Je ne mangeais pas le matin, mais rien que pour lui, j'avais envie de dévorer le plateau. « Bien dormit ? » Je buvais une gorgée de café et levais la tête vers lui en hochant la tête pour dire que oui. « Ouais, mais le réveil est carrément mieux. J'ai rêvé que tu me quittais pour aller avec un mec. Je fais des rêves chelou j'assume. » Je rigolais doucement et me calais dans les bras du grand brun, il était en caleçon donc j'en déduisais que son colocataire n'était pas là. Je ne l'avais jamais rencontré, à chaque fois que je venais celui-ci était en vadrouille et c'était pas plus mal. Blottit dans les bras de Nate j'avalais une nouvelle gorgée de café et pris une tartine pour la donner au jeune homme. Je détestais manger devant les gens quand eux ne mangeais pas, aller comprendre pourquoi. J'étais bizarre, c'est pas nouveau!

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« Charlotte & Nathaniel »

Je ne pouvais pas m'empêcher d'être un protecteur, que ce soit dans ma vie amoureuse ou ma vie amicale. Mes amis sont toutes ma vie, je pourrais me jeter du haut de la tour du One World Trade Center, ou plonger au plus profond des océans. Et bien par amour c'est pareil, sauf que les sentiments me donne deux fois plus de force pour accomplir ce que je dois faire. Je le montre de plusieurs façon mais toutes les filles savent qu'un bisou sur le front est signe de protection. C'est un geste que j'ai pris l'habitude de faire avec Charlotte, parce que je l'aime et que je veux la protéger quoi qu'il arrive. Je ne lui ai encore jamais dis, parce que je sais à quel point ces 3 petits mots peuvent faire flipper. Mais je le pense, et je sais qu'un jour ils sortiront sans que je ne le veuille. En attendant, je profites de chaque minute avec elle, parce que moi au moins je peux me vanter d'avoir une femme parfaite. Quand elle ouvrit les yeux au réveil, j'avais déjà le sourire. Elle est magnifique, même le matin. Elle m'embrasse en m'appelant son prince charmant, et je ris à cette phrase. Nous sommes complémentaires depuis toujours. C'est ce que j'aime chez elle. Elle m'explique alors son rêve et je manque de m'étouffer avec la tartine qu'elle me tends. Je la regarde une seconde incrédule, puis rigole avec elle. « Il était beau au moins ? » Je rigole et je sais que je vais me faire taper, mais je trouve ça mignon un couple qui se chamaille. Et de toute façon elle sait que je ne pourrais pas la quitter, que ce soit pour un homme ou pour une femme. J'esquisse un sourire fier de ma blague, et continue de manger. Elle se blottit alors dans mes bras et je me sens à nouveau très bien. C'est dingue l'effet apaisant que cette fille a sur moi. Quel jour sommes nous ? Samedi. Je caresse doucement son bras et lui demande d'une voix calme et douce. « Alors ma belle, quoi de prévu aujourd'hui ? » Intérieurement, j'espérais que sa réponse serait "rien" comme ça nous pourrions trainer au lit toute la journée, à regarder des films et faire des câlins. Je sais, je suis un bisounours, mais j'adore flemmarder au lit et encore plus si je suis accompagné par celle qui partages ma vie. En l’occurrence, Charlotte. Je me demandais un instant si moi j'avais quelque chose de prévu, mais j'avais beau chercher mon agenda était libre pour la journée. Et si je l'emmenait faire quelque chose qu'elle aime ? Les boutiques, une balade dans la ville, au cinéma, ou je ne sais quoi. Mes pensées partent loin en attendant sa réponse. Finalement, quoi que l'on fasse je serais heureux de le faire avec elle.

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« Il était beau au moins? » Je rigolais légèrement tout en envoyant un petit coup de poing dans l'épaule de mon petit ami qui rigolais de sa blague. Il était comme ça Nate, toujours à faire des blagues, toujours gentil. C'était à la fois mon petit-ami et mon ami. C'était vraiment cool comme relation. Je devais quand même avouer que j'avais très peur de cette relation, j'étais vraiment très attachée au jeune homme mais lui, je n'en savais rien. C'était un mec bien, mais peut être qu'il jouais avec moi tout simplement. Il croyais bien que j'avais de l'argent, il pourrais très bien faire croire qu'il était bien avec moi. C'était exactement pour ça que je détestais au plus haut point être attachée à quelqu'un, mon esprit se torturais à savoir si il était vraiment sincère ou non et surtout, je commençais à paniquer sérieusement. Moi tombée amoureuse? Plutôt mourir sur le champ d'une mort longue et douloureuse! L'amour c'est pour les petites filles. Il fallait être con pour croire que l'amour existe, pour croire que l'amour c'est ce qu'il y a de plus beau et blablabla. Que des conneries. L'amour c'est juste une invention pour permettre aux gens de croire qu'ils ne resteront pas seul tout au long de leurs vies. Point barre. Rien de plus. J'avais une vision du monde un peu étrange, je suis d'accord mais il faut croire que je voulais simplement me protéger. La seule et unique fois de ma vie où j'ai pensée être amoureuse c'était d'une fille. Elle était royalement belle mais deux ans après qu'on se sois mis ensemble, elle partait dans son pays en Australie et malgré ses promesses de "on continuera de se parler t'inquiète" je n'avais jamais eu de nouvelles. Donc j'en avais fais ma déduction personnelle. L'amour c'est nul! Je me rendais compte que j'avais perdue trop de temps dans mes pensées oubliant Nate pendant quelques secondes.
Blottit dans ses bras, je lui offrais une petite tartine et buvais une gorgée de café. « Alors ma belle, quoi de prévu aujourd'hui ? » Je reflechissais quelques secondes avant de me rendre compte qu'on était samedi. « Hum... Absolument rien. Je suis tout à toi aujourd'hui à moins que tu ai prévu un truc? Si c'est le cas je peux rentrée chez moi t'inquiète hein. » Je souriais et m'enfonçais un peu plus dans ses bras. J'étais bien là, blottit contre lui. Je me sentait en totale sécuritée, comme si rien ne pouvais m'atteindre, un tremblement de terre pouvais avoir lieu je n'aurais pas peur un centième de seconde. J'espérais secrètement qu'il me réponde qu'il n'avais rien de prévu afin qu'on puisse tout les deux flemmarder au lit encore quelques instants et aller se promener ensemble histoire d'aller profiter du soleil rien que nous deux, dans notre petite bulle.

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« Charlotte & Nathaniel »

Je ne pus m'empêcher de faire le garçon blessé et qui à affreusement mal quand elle me balance son petit poing dans l'épaule. Bon sang, l'entendre rire c'est un bonheur. Je la regarde quelques instants puis la serre un peu plus contre moi. J'aime être avec elle, quoi qu'elle fasse et quoi qu'elle dise. J'avoue ne pas être rassuré dans cette relation. J'ai une totale confiance en elle, mais comme tous New-York le sait grâce à Gossip Girl, je n'ai jamais été gâté dans mes relations. Et j'aimerais franchement éviter une nouvelle déception. L'avantage c'est que je sais profiter de l'instant présent, même si mon cerveau tourne à 20 milles kilomètres heures. Je me rends compte qu'elle comme moi, nous sommes perdus dans nos pensées. Je commence à lui caresser le dos quand elle réponds à ma question. Rien ? Mais quel bonheur !! Je nous vois déjà faire les loques dans le lit encore un long moment, et je ne peux me retenir d’esquisser un sourire. Elle se blottit un peu plus contre mon torse nu, et j'en profite pour poser un baiser sur son front. « Et bien, nous voilà obliger de passer la journée ensemble. Tu pourras survivre ? » Une fois de plus je ris à ma blague, même si je sais que parfois j'avoue que je peux être insupportable comme mec. Je la regarde, toujours avec mon sourire d'enfant accroché au visage, et m'étire doucement tout le corps. Bon sang, si je n’avais pas Charlotte, je pense que mon lit serait mon unique grand amour. J'aime tellement ne rien faire et profiter de la chaleur des couettes que ça devrait presque être illégal. Je saisis alors une tartine que je mange avec bon cœur, et change la musique de la chaine hifi avec la commande à distance. Je zappe de station en station, jusqu’à tomber sur de la musique latino. « Hey, tu sais danser la dessus ? » J'avoue que j'ai un espoir qu'elle me réponde oui. Mais je pense que si elle danse ainsi devant moi je ne vais pas décoller du lit pour la journée. Je pourrais surement la regarder des heures danser sur ce genre de musiques, mais avant de m'enflammer, je préfère savoir si elle sait danser et encore plus, si elle accepte de danser pour moi. Puis soudain j'appréhende, si elle me demande de danser avec elle je suis foutu. Je ne sais absolument pas bouger comme le ferait un danseur de métier, ni même un simple amateur. Je ne suis qu'un piètre danseur de boite de nuit, qui aime ça parce qu'avec les stroboscopes on ne le voit pas.

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« Et bien, nous voilà obliger de passer la journée ensemble. Tu pourras survivre ? » Je souriais niaisement à mon petit-ami avant de l'embrasser à nouveau. Mon dieu qu'est ce que je pouvais détester et en même temps aimer cette sensation! C'était vraiment étrange pour moi de ressentir ce genre de sentiment pour une personne, d'être autant accroc à quelqu'un. C'était quelque chose de nouveau à mes yeux et c'était vraiment effrayant mais en même temps tellement beau! Je me blotissais un peu plus encore dans les bras de Nate et buvais une nouvelle gorgée de café. « ah ça je sais pas, va falloir m'occuper, tu sais. » Je rigolais une nouvelle fois à ma connerie et croquais dans une biscotte. Parfois, je m'en voulais de mentir comme je le faisais à Nathaniel, mais en même temps, si il savais la vérité, il me quitterai c'était sûr et certain. J'étais vraiment bien avec lui et je ne voulais pas courir ce risque. En plus de ça, c'était quelqu'un d'influent à Manathan donc je ne voulais pas que toute la ville sâche que j'ai menti. C'était hors de question. Perdue dans mes pensées, je ne fit même pas attention que je Nate avais changer de musique, je revenais au monde réel quand celui-ci me demandais si je savais danser sur une musique latino. Si on enlevais le fait que pour moi danser ce résumais à bouger mes fesses. J'haussais les épaules et posais le plateau sur le lit avant de décider de le poser plutôt par terre et montais debout sur le lit. Vêtue d'un simple maillot de Nate et d'un boxer en dentelle je commençais à me tremousser sous les yeux de mon petit-ami avant de m'assoir à califourchon sur lui tout en continuant de me tremousser sur lui. « Je sais pas si on peux appeler ça danser mais je sais faire ça. » J'embrassais avec passion le jeune homme et m'arrêtais seulement à la fin de la musique. Je le serrais dans mes bras en coincant ma tête dans son cou et sans trop savoir ce qui se passais, sans même avoir le temps de laisser mon cerveau peser le pour et le contre je lui lançais doucement. « Je t'aime. » A cet instant précis, je n'avais plus qu'une seule idée en tête. Sortir de mon propre corps pour me giffler une énorme fois. Je restais assise sur lui la tête blottit sur lui sans oser le regarder dans les yeux. Pourquoi j'avais dis ça, mais vraiment, pourquoi?! La réponse, je l'avais au plus profond de moi, je l'aimais. J'étais tombée amoureuse de Nate Archibald et c'était complêtement flippant.

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« Charlotte & Nathaniel »

Je savais que quoi que je fasse, j'allais obligatoirement m'accrocher à cette fille. Évidemment j'avais souvent été déçu par les femmes, mais avec elle je ne sais pas, j'étais bien. C'était quelque chose de flippant mais en même temps comment ne pas l'aimer ? Elle à des yeux de malade, un sourire charmeur, un visage d'ange et un corps de rêve. Et même sans parler de son physique, elle est douce et joyeuse, pleine de vie et surtout sans prise de tête. La vie avec elle est simple, c'est un bonheur. Qui peut se vanter de se réveiller avec un câlin, d'avoir des sourires à chaque phrase, de s'aimer et surtout de se taquiner comme des meilleurs amis ? C'est un bonheur. Un rayon de soleil entre dans la chambre, éclairant toute la pièce comme si nous étions à l'extérieur. Je ne sais pas s'il fait bon, mais en tout cas il fait beau. Le soleil est en accord avec notre humeur, et une fois de plus c'est génial. Elle m'embrasse et me dis que je vais devoir trouver quelque chose pour l'occuper. Je fais mine de réfléchir et lui dit avec un sourire « Y a deux solutions. Soit on reste ici toute la journée, tous les deux, à se faire des câlins et des bisous et à profiter de la journée à ne rien faire. Soit on sort, on se pose dans un coin tranquille, et on fait exactement la même chose mais dehors au soleil. » En vrai, je voulais surtout rester avec elle et ne rien faire. Mais qu'on soit dehors ou dedans ça m’allait, l'important c'était qu'elle soit avec moi. Et quoi qu'elle décide en revanche, il me faudrait de la musique. J'aime beaucoup trop passer une journée flemmardise en musique. J'avais une enceinte portative, donc c'était jouable. Suite à ma question, Charlotte enleva le plateau de sur le lit, et j'arquais un sourcil, cherchant à savoir ce qu'elle allait faire. La suite était juste parfaite ! J'avais une vue imprenable sur ma copine en train de danser au dessus de moi, et j'avais un espèce de sourire d’abruti collé au visage. Bon sang ce qu'elle est belle ! Par la suite elle s’assied sur moi et m'embrasse comme si c'était la première fois que l'on se voyais depuis des lustres. Wahou. Cette fille est exceptionnelle. La musique s'arrête et elle s'écarte de moi pour venir se lover dans mon cou. Je passe mes mains dans son dos et la serre fortement contre moi, elle est juste parfaite. Je caresse son dos et nous restons quelques instants collés l'un à l'autre quand quelque chose se fait entendre. Sa voix, ses mots, LES mots. Je reste silencieux quelques secondes, le temps d'être sûr de ce que je venais d'entendre, puis je pose mes doigts sous son menton pour la forcer à relever la tête. J'ai retrouver mon sourire et je la regarde droit dans les yeux. Ses yeux d'un bleu magnifique. J'hésite entre hurler de joie, ou simplement la prendre dans mes bras. Finalement j’opte pour aucune des deux solutions. Je caresse son visage, et lui réponds simplement « Je t'aime aussi.. tellement ! » Mes lèvres viennent alors se poser sur les siennes, et j'espère la rassurer -et me rassurer aussi- en faisant ça. Parce que je sais, en tout cas je le sens, qu'elle à autant de pression sur les épaules que moi. Je sais que ce n'est pas simple de vouloir s'engager, et elle comme moi nous n'avons pas eu d'histoires sérieuse depuis un moment. Est-ce qu'elle à en a eu même ? Je ne sais pas, et je ne veux pas savoir. Je suis bien avec elle, c'est tout ce dont je dois me soucier. Je met un terme au baiser pour la regarder une fois de plus, et je ne sais pas si je dois continuer de parler de ce qu'elle vient de me dire ou pas. Alors je joue la carte de la sécurité. « Alors maintenant que ma belle au bois dormant est réveillée, a t-elle décidée ce qu'elle voulait faire de sa journée ? »

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« Y a deux solutions. Soit on reste ici toute la journée, tous les deux, à se faire des câlins et des bisous et à profiter de la journée à ne rien faire. Soit on sort, on se pose dans un coin tranquille, et on fait exactement la même chose mais dehors au soleil. » Nate avais sur moi une de ces capacités à faire de moi quelqu'un de mieux, je le sentais dans chacune des parcelles de mon corps. Quand j'étais près de lui, j'avais une terrible envie d'être quelqu'un de bien, de ne plus lui mentir d'être naturelle et de ne rien lui cacher. Seulement, la vie n'étais pas aussi simple que ça, j'avais commencer à lui mentir depuis le début de notre relation, donc je ne pouvais pas lui avouer maintenant que tous ce que je lui ai dis depuis le début n'était que mensonge, il le prendrais mal et je le comprendrais très franchement. Alors, je me contentais d'éviter ce genre de questions. Je ne parlais jamais de ma famille, ni de mes études. En y réfléchissant bien, Nate ne savais pas grand chose sur mon passé, alors que moi j'en savais énormément. Par ce qu'il m'avais dis bien sûr et aussi grâce au fameux blog que tous le monde connaissais à New-York. Gossip Girl. Ce site, qui racontais la vie de l'élite New-Yorkaise mais pas que. Avant c'était le cas, maintenant tous le monde pouvais être sur le site. De l'étudiant tranquille du Bronx au riche héritier qui vit en pleins cœur de Manhattan. Et Nate en avais pendant très longtemps fais les gros titres. Sa relation avec Serena Van Der Woodsen, ou même Blair Waldorf. Je touchais du bois, je n'avais jamais été sur le site, pourvu que ça dure, je ne me voyais vraiment pas devoir expliquer aux gens pourquoi je leurs avais menti depuis tous ce temps.
Je reportais mon attention sur Nathaniel et me blottissais un peu plus contre lui. J'étais bien dans ses bras, en sécurité et heureuse. C'était le principal. Mon cœur battais la chamade, il battait si fort que j'avais l'impression qu'il allais sortir de mon corps. Et là, les mots s'emmêlais dans ma gorge, les émotions était beaucoup trop forte, et le "je t'aime" fatidique sortais. Pendant quelques micro seconde, j'évitais son regard, j'avais trop peur de ce que je venais de dire. Nate pris mon menton délicatement pour que nos regards se croisent. « Je t'aime aussi.. tellement ! » Un petit sourire se dessinais sur mes lèvres et Nate m'embrassais à nouveau. C'était la première fois que je disais à quelqu'un que je l'aimais. Et... C'était très étrange comme sensation. J'étais contente de l'avoir dis et en même temps terrifié à l'idée de ce que notre relation allais devenir. Je décidais de me taire à nouveau, histoire du juste profité du moment, de cet instant absolument parfais. « Alors maintenant que ma belle au bois dormant est réveillée, a t-elle décidée ce qu'elle voulait faire de sa journée ? » On quittais notre petite bulle de bonheur intense pour revenir à la réalité. Je reposais mon regard sur Nate. « On reste un peu là et on va profiter du dehors. Ou alors, on se motive et on va boire un café en ville. » Je détestais prendre des décisions, c'était pas nouveau. Je préférais répondre aux questions, par des questions. Un peu idiot je l'admet. Je sortais du lit pour me lever un peu. Rester assise comme ça, me donnais des fourmis dans les jambes. La musique continuais à tourner doucement, une musique un peu entraînante commençais alors. Je pris la main de mon petit ami le traînais jusqu'à moi, pour qu'il danse avec moi. « Ca te dis de partir quelques jours? Je sais pas où. En France, en Italie, j'en sais rien. J'ai envie de quitté New-York avec toi le temps d'un weekend. »

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Les relations de couple ça a toujours été le train train de ma vie quotidienne. Tout le monde le savait et ça n'avait jamais été un réel problème. Après tout je n'ai rien à cacher, et c'est très bien comme ça. Puis même si je voulais cacher quelque chose, de toute façon ça ne tiendrais pas. Une certaine G.G se chargerais de tout révéler à la jeunesse dorée de Manhattan et d'ailleurs. J'avoue que je n'avais pas prévu que notre relation face un bond aussi grand. Encore hier, je me suis demandé si un jour j'aurais le courage de lui dire combien je l'aimais. Je l'ai regardée s'endormir hier, et j'étais heureux tout simplement. Là, près d'elle, je pense que rien ne pourrait me faire quitter mon état d'esprit de loveur à 400%. Et aujourd'hui, finalement après de longues heures de torture nocturne, c'est elle qui s'est lancée. Évidemment je ne vais pas m'en plaindre, c'est un grand plaisir de l'entendre de sa bouche, mais c'est étrange parce que la dernière personne à qui je l'ai dis c'est Serena et tout le monde à vu comment ça s'est terminé. Je vois bien, je le sens aussi, qu'elle est terrifiée à l'idée de m'avoir dit ces trois petits mots, et comme je la comprends. Se dévoiler ainsi n'est jamais simple, mais en même temps j'avais pas envie de continuer à vivre avec elle, près d'elle, sans le lui dire. C'est comme ça, j'aime partager ce que je ressens. Elle finir par me répondre à propos du programme de la journée, et j'avoue que nous ne sommes pas plus avancé. Mais je ne peux pas lui en vouloir, c'est un choix cornélien. Je fais mine de réfléchir pendant que je la regarde se lever, et elle ne me laisse pas le temps de prendre une décision. Finalement me voilà debout, collé à elle, pour une danse sur la musique douce qui nous entoure. « J'irais bien dehors prendre un café en terrasse, c'est une bonne idée. » Mes lèvres se posent à nouveau sur les siennes et je lui montre combien je l'aime au travers de ce simple contact. Je ne sais pas ce que ça fait d'avoir une longue relation stable et sans embuches. Ça n'a jamais été très simple avec Serena, et ma relation avec Blair n'a pas été de tout repos non plus. Alors si je peux profiter ne serait-ce qu'une seule fois de cette relation posée et simple avec Charlotte, je ne vais pas m'en priver. Suite à cela, elle me pose une question à laquelle je ne m'attendais absolument pas. Wow.. Partir dans un autre pays, même un autre continent apparemment, avec elle ? Ce serait le pied total. Mais je me surprends à réfléchir. Quand ? Comment ? Mon cerveau tourne à plein régime, mais je ne peux pas la laisser sans réponse. Je plonge mon regard dans le sien, et sans rien contrôler, ma réponse sort. « J'irais n'importe où avec toi. » J'ai toujours été un grand romantique, je ne le cache pas. Mais avec elle c'est pire encore, je ne contrôle rien. Quand je la regarde, j'ai l'impression que je pourrais tout lui passer, n'importe quelle demande, n'importe quel caprice. C'est ma copine, et parfois je pense que je devrais faire attention. Un couple peut se briser du jour au lendemain. Je pense que j'ai tellement peur de la perdre que je serais capable de tout sans regarder mes limites. C'est bien mais c'est mal en même temps.. « Où veux-tu aller ? Si là, tout de suite, tu devrais choisir une destination, où irais-tu ? »

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« J'irais bien dehors prendre un café en terrasse, c'est une bonne idée. » Je regardais mon petit ami dans les yeux en me demandant comment j'avais fais toute ses années pour vivre sans lui. Depuis qu'il était entré dans ma vie, j'avais l'impression constante d'être sur un petit nuage, d'être dans une bulle tellement loin dans le ciel que je ne voyais plus toutes les petites choses qui m'entourais, j'étais bien avec lui, je le ressentais du plus profond de mon être. Mais comme ma mère me le répétais assez souvent, à être dans une bulle de bonheur intense c'est cool, mais quand cette bulle éclate, ça fais mal et c'est justement ce qui me faisais peur dans ma relation avec Nathaniel. La musique devenais alors entraînante et je pris la main de mon petit ami pour l'inviter à danser. Je lui proposais alors, sur un coup de tête je l'admet de quitter la ville quelques jours juste nous deux. J'étais accro à Nate, c'était aujourd'hui une certitude. « J'irais n'importe où avec toi. » En temps normal, j'aurais certainement explosé de rire en disant que c'était ridiculement niais et je serai partie en courant, mais cette fois-ci allez savoir pourquoi je trouvais ça juste super mignon. Je plaquais mes lèvres contre les siennes et me blottissais à nouveau dans ses bras. J'avais envie de lui redire à nouveau que je l'aimais, sans trop savoir pourquoi. Il y a quelques minutes je me haïssais de l'avoir dit et maintenant j'avais envie de lui hurler à la gueule mes sentiments.« Où veux-tu aller ? Si là, tout de suite, tu devrais choisir une destination, où irais-tu ? » Sans réfléchir, je répondais directement.« La France? J'étais là-bas quand j'étais plus jeune, je connais pleins d'endroit sympa du coup. » Je ne lui avais pas vraiment dit pourquoi ma mère m'avais envoyer en France. Il n'était pas au courant de grand chose sur ma vie. Il ne savais pas que j'avais une jumelle, ni même que ma mère m'avais envoyer dans un internat parce que j'étais la fille la plus invivable du monde.
« On va prendre l'air? » Je me détachais alors de Nate pour enfiler ma robe qui était poser sur une chaise. J'avais envie de prendre l'air et de montrer aux gens à quel point j'étais bien avec Nate. De leurs hurler mon bonheur à la gueule en quelques sorte. Je partais alors en direction de la salle de bain où je me maquillais simplement et rapidement en l'espace de quelques minutes après j'étais prête. Je cherchais dans mon sac une cigarette et me dirigeais vers la fenêtre pour fumer la première clope de la journée celle dont jamais je ne pourrais me passer je crois. En attendant Nate, je me posais accoudée à la fenêtre en jouant avec mon portable.

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