THYLIA + quand la pologne et le mexique se chamaillent..

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ft. thylia & la mère de Clelia (pnj)

« Hey baby, i think i wanna marry you.»

On avait passé toute notre soirée à goûter des gateaux de mariages. Chocolat, citron, vanille, meringue, glaçage, choux. On en avait vu pour toutes les couleurs, il y avait de tout et c'était vraiment difficile de choisir. Pour une fois, on faisait les choses par nous-mêmes. La mère de Thyb, Cee ou encore April ne s'était pas pointé pour déguster les gâteaux avec nous. Ma sœur était tellement occupée avec ma robe de mariée qu'elle nous laissait tranquille. Heureusement, j'avais encore besoin d'une personne comme elle. Après que la patissière s'en aille en nous laissant ses gâteaux. Thybalt et moi avons décidé de se détendre tous les deux. On avait tout coupé, portable, ordinateur, on avait bien pris la peine de verrouiller tous les accès à notre refuge. On a joué avec certains gâteaux, comme des gosses, c'était ceux qu'on aimait le moins bien sûr. On a fini tous les deux sous la douche puis on s'est couché vers cinq heures du matin, complètement exténués par les journées de fous qu'on a en ce moment. C'est vraiment pas de tout repos d'organiser un mariage, croyez-moi, surtout quand on s'appelle Addison et Pawelski.

Dix heures et demi. On s'acharne sur la sonnette. Je rabats la couette sur ma tête, prenant mon oreiller et le mettant sur ma tête. Qui est l'excité de la sonnette ? Non mais sérieux. J'étais dans un super rêve, non, non, non, je ne veux pas me réveiller. S'il vous plait. Non. Mes yeux sont dans le noir complet, je n'arrive pas à distinguer l'heure sur la table de chevet Je grimace et ferme à nouveau les yeux. Je me retourne vers Thybalt en disant « Mon cœur, vas-y s'il te plait. » j'entendis un grognement de la part de Thybalt, il était encore moins motivé que moi, j'avais tellement la flemme de me lever que je me collais à Thybalt. La sonnette n'arrêtait pas mais j'étais tellement fatiguée que cela ne me dérangeait presque pas. Je retombais rapidement dans le sommeil. Bizarrement, je n'entendais plus rien. Tant mieux. Je me collais un peu plus à mon fiancé tout en poussant un soupir. J’espérais retrouver la fin de mon super rêve. Tant pis, on ne se réveille pas. La personne repassera... Moi j'ai bien envie de profiter un peu des bras de Thybalt et du sommeil aussi. Je vivais en décalé, je ne savais même pas quel jour on était..

Les rideaux de notre chambre sont tirés rapidement. Une voix que je connais bien. La lumière du jour est entrain de me faire souffrir. La couette se tire doucement de mon côté et j’émets un grognement tout en me retournant de l'autre côté comme une gamine énervée et qui veut dormir. « Debout les enfants ! » Une voix assez sec mais douce en même temps. Une voix que je connais bien. Ma mère. Oh merde, ma mère. J'ai oublié qu'elle arrivait aujourd'hui. J'ouvre les yeux doucement. Elle me lance un sourire doux. Elle remonte ses lunettes de soleil. Elle me lance un sourire doux. Elle vient me serrer dans ses bras. Je ne suis pas vraiment dans une tenue correcte, c'est un peu gênant. « Maman, mais tu devais pas arrivé cet après-midi ? » demandais-je toujours un peu surprise. La maison était sans dessus-dessous, c'est tout simplement la galère. Non, elle ne devait pas voir ça. « Si, mais je voulais voir mes petites filles plus tôt mais pas toi, le concierge a dû m'ouvrir la porte. » me lance-t-elle d'un ton un peu de reproche. Je baisse un peu la tête mais elle est toujours un peu souriante, c'est normal, ça fait des mois qu'on ne s'est pas vu. Elle me lâche ensuite et regarde Thybalt un peu plus froidement. « Je vous attends dans le salon, je vous serrerais la main tout à l'heure jeune homme quand vous serez un peu plus présentable, je ne tiens pas à vous serrer la main alors que vous êtes en caleçon. » elle sort ensuite et je me retourne vers Thybalt. « Bon bah, je te présente ma mère.. » J'avais un sourire un peu gênée. Je l'embrasse tout de même tout en enfilant vite fait quelque chose, histoire d'avoir l'air un peu plus présentable. Thybalt était devenu tout blanc. « Stresse bien, ça va bien se passer.. Ma mère va finir par t'adorer, j'en suis sûr ! » Je lui fais ensuite un autre bisou tout en le serrant contre moi. Je l'aime, c'est le plus important et je sais que ma mère n'est pas méchante. Je sais qu'elle a juste des aprioris sur lui.

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Clélia & Sa mère (PNJ)

Je n’avais jamais vu autant de gâteau de ma vie. Se marier c’était quand même super cool. La pâtissière nous avait préparé des tas de petites parts pour nous faire goûter. La pauvre s’était donné du mal et rien que pour cela je voulais que nous la choisissions. Ce serait elle et personne d’autre. D’accord elle n’était pas connue dans Manhattan, ce n’était qu’une petite pâtisserie mais c’était à tomber. J’avais d’ailleurs réussi à négocier un gâteau au citron. J’adorais le citron. Par contre, pour le mariage : Aucune idée. Nous n’arrivions pas à tomber d’accord. Ils étaient plus bons les uns que les autres. Nous étions rentrés à l’appartement avec un bon petit paquet : Un bon petit déjeuner bien calorique. J’avais embêté Clélia à ce sujet : heureusement que nous ne nous occupions pas du repas complet sinon sa sœur allait devoir rajouter trois tailles à sa robe de mariée. De retour à la maison, notre imagination s’envola au contact des gâteaux. Nous en avions partout et la douche ne fut pas une option. Il était plus de cinq heures du matin lorsque nous nous décidons enfin à nous coucher. Je serrais Clélia contre moi et me laissais glisser dans les bras de Morphée.

Je sursautais en entendant la sonnette retentir dans tous l’appartement. Ah non hors de question que je me lève. J’enfouissais ma tête sous l’oreiller et rabattais la couverture. Peut-être que ma fiancée aurait le courage mais il ne fallait pas compter sur moi. Apparemment sur elle non plus. Je lui répondais d’un grognement. Elle se collait contre moi, je déposais mes lèvres dans son cou et mes bras l’attiraient encore plus contre moi. Rapidement mes yeux se fermaient à nouveau. Peu importe qui était à la porte, il faudra repasser. Je prenais une journée de congé dans les préparatifs. Rien ne pouvait me toucher aujourd’hui. Une merveilleuse journée au lit. Je savais que Clélia serait emballée à cette idée.

La lumière vint me heurter de plein fouet. Je poussais un soupir et enfouissais ma tête sous la couette. Clélia était devenue folle ou quoi ? J’entendais une voix qui m’était inconnu. Je sursautais, d’autant plus que je venais de sentir la corps de ma petite amie contre moi. La couette était tirée. Je passais ma main dans mes cheveux, l’air totalement endormi. Il me fallut une bonne minute pour comprendre ce qui était en train de se passer. La mère de Clélia venait de débarquer. Oh putain. La mère de Clélia était là et … J’étais en caleçon. Super. Ravi de vous rencontrer. Elle prenait un mauvais départ. On ne me réveille jamais le matin. C’était une règle d’or. Assis sur le lit, je passais mes mains sur mon visage et dans mes cheveux. Non je n’étais définitivement pas du matin. Sa mère me parlait, je n’écoutais que d’une oreille. Heureusement d’un sens. Elle quittait la pièce, je me laissais tomber sur le lit. « Charmante. » J’étais doucement en train de me rendre compte de ce qui s’était passé. Clélia m’embrassait en s’habillant. « Je n’en doute pas. Encore plus lorsqu’elle va se rendre compte que l’un des tes sous-vêtements trône sur le canapé si je m’en souviens bien. » Résultat de notre soirée d’hier. J’enfilais à mon tour un jean et une chemise qui trainait par là. Clélia venait se serrer contre moi, je l’embrassais. Je lui murmurais que je l’aimais avant d’ajouter : « Tu veux un duo gagnant ? On appelle ma mère ? » Je souriais. Je n’étais pas du genre à me mettre dans des états pas possibles pour que l’on m’aime. Mais Là j’avais vraiment pris un mauvais départ.

Je la suivais jusqu’au salon. Sa mère était là assise sur le canapé. L’appartement était dans un état terrible. Enfin surtout la table du salon. Son regard sur moi était transperçant et très froid. Je me lançais : « Je suis ravi de vous rencontrer. Désolé pour l’appartement nous ne vous attendions pas de si tôt et avec les préparatifs… » Je ne l’attendais même pas du tout sa mère… Je n’avais peut-être pas bien écouté. « Je peux peut-être vous offrir un petit quelque chose ? Un café, Un thé ? Une part de gâteau au citron ? » J’essayais d’être agréable mais c’était aussi simple que de l’être avec mon père… Le même air froid. Ils devraient s’entendre.

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« Hey baby, i think i wanna marry you.»

Ma mère venait de débarquer et elle nous trouvait encore au lit. Galère. Elle était contrariée. Au ton de sa voix, je sentais que la journée démarrait mal. Thybalt n'avait pas fait la meilleure impression. Elle nous laissait seul et Thybalt se laissait tomber sur le lit pendant que je soupirais. Il lançait un charmante et je baissais un peu les yeux. Ma mère pouvait paraître froide, mais c'est vraiment un amour. Je lui dois tout. J'aurais pu devenir comme elle, c'est une femme perfectionniste, qui ne laisse pas trop de place à l'improvisation. « Elle va se détendre, ne t'inquiète pas. » Il me rappelle ensuite qu'un de mes sous-vêtements trôle dans le salon et je deviens blanche comme un linge. Ma mère risque de ne pas apprécier du tout. Oh mon dieu, je suis entrain de prier pour qu'elle ne l'a pas vu. Je serre Thybalt. Il avait besoin de courage et moi aussi. Bizarrement, je commençais à appréhender le jugement de ma mère sur Thybalt. J'avais envie qu'elle l'aime bien aussi, qu'elle voit que c'est le type parfait pour moi même si on est différents. Je veux vraiment que deux des personnes les plus importantes de ma vie s'entendent bien. Il fit ensuite une blague tout en disant « Non, laissons ma mère te connaître ensuite. Si tu commences à ramener toute ta famille, tu vas l'effrayer.. » On se séparait ensuite à contre cœur. Je prends sa main et on se va jusqu'au salon. Ma mère est assise et inspecte la pièce. Son regard est dur et froid. J'avale doucement ma salive. J'essaie de lui faire les gros yeux afin qu'elle arrête. C'est sur que pour elle, Thybalt n'est pas vraiment le gendre idéal. Thybalt se lançait et ma mère le regardait avant de lever les yeux. Mon regard se pose sur le sous-vêtements que j'ai oublié. Oh la honte, devant ma mère en plus. « Oui, je vois que le ménage n'est pas votre fort.. » Son ton était assez froid. Thybalt lui proposait ensuite quelque chose à boire ou à manger. « Seulement un thé, s'il vous plait. » elle le regardait froidement. Je m'avançais vers elle, tentant de subtiliser discrètement le sous-vêtement. « Maman, fais un effort s'il te plait. » dis-je doucement, tandis que son regard se noircit envers moi. « Un effort ? Tu épouses ce garçon alors que je ne le connais pas. Comment veux-tu que je fasse un effort ? C'est pas comme ça que ça se déroule normalement les mariages. » dit-elle tout en nous toisant. « Et Clelia, ton soutien-gorge est la première chose que j'ai vu. Je ne préfère pas savoir ce qu'il s'est passé. » Je rougis ensuite de honte. Je n'allais pas faire de commentaires, c'est gênant. Je la regarde et je soupire, je n'avais pas vraiment envie de me disputer avec ma mère devant Thybalt et je ne voulais pas non plus gâcher nos retrouvailles, c'est ma mère. Elle dit clairement les choses et malheureusement, je ne peux pas l'arrêter. « Maman, on en a déjà parlé. Apprend à connaître Thybalt au moins. » Je l'implore du regard, limite, je joins mes mains comme une prière. Quand ma mère avait des idées préconçues dans la tête, c'est difficile de la faire changer d'avis. Je ne voulais pas me laisser faire face à elle. Je devais soutenir Thybalt. Je sais ce que c'est quand ta belle-famille ne t'aime pas. J'en ai fait l'expérience avec son père. Elle me regarde en disant « D'accord. » Elle croise les bras. Je ne veux pas savoir ce qu'elle pense. Elle se tourne vers mon futur mari tout en disant « Alors jeune homme, que faîtes vous dans la vie ? » Je savais déjà plus ou moins ce qu'elle pensait. On était clairement pas du même monde avec Thybalt. Ma mère avait beaucoup d'idées préconçues sur les riches malheureusement. Elle voulait nous écarter de ce monde avec Roxane, mais nos deux métiers nous mènent vers ce monde là. A son plus grand désespoir.

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Clélia & Sa mère (PNJ)

La mère de Clélia venait de débarquer et je savais que la journée allait être très longue. Le destin avait un humour que je ne comprenais définitivement pas. L’appartement était dans un état pas possible et il avait fallut qu’elle rentre dans notre chambre… Alors que nous étions encore au lit. Que du bonheur. Je détestais ce genre d’intrusion mais c’était la mère de ma future femme. Je n’avais pas vraiment l’opportunité de l’ouvrir. Clélia tentait de me rassurer, j’en fis de même en lui rappelant que son soutien-gorge trônait dans le salon. Mieux valait-il qu’elle soit préparé à l’éventualité que sa mère le découvre. Je doutais que ce soit le genre de parents qui s’amusent d’une telle situation. Je fis une petite blague en lui proposant d’appeler ma mère. Je doutais vraiment qu’elles puissent s’entendre… Je l’embrassais et finissais de m’habiller. Il allait falloir que je réussisse à convaincre sa mère que je n’étais pas le connard qui avait épousé sa fille avant de divorcer mais bien le mec fou amoureux d’elle. Nous allions bien nous amuser.

Je suivais ma fiancée jusqu’au salon. Sa mère semblait détailler chaque millimètre carré. Pour l’opération séduction, c’était mal barré. Je me lançais pourtant et m’excusais pour le bazar. Là où habituellement n’importe qui aurait, par pure politesse, ignoré le désordre, elle se fit un malin plaisir de le souligner. Je serrais la mâchoire, m’empêchant de rétorquer que si elle n’était pas venue en avance… Je lui proposais quelque chose à boire ou à manger à la place. Un thé. Respire Thybalt. Je lâchais la main de ma petite amie, après avoir pris un malin plaisir à l’embrasser, pour me diriger vers la cuisine. Je mettais la bouilloire en route, tout en entendant celle que j’aimais prendre ma défense. Pourquoi fallait-il que je tombe sur la seule mère qui était convaincue que je n’avais rien à faire avec sa fille ? Surtout que c’était la première fois que je rencontrais les parents d’une de mes petites amies. Je revenais pile au bon moment pour me prendre une nouvelle remarque. Bon elle n’avait pas tord. Note mariage est aussi atypique que notre couple… Deuxième remarque sur le soutien-gorge. Je me mordais l’intérieur des lèvres pour ne pas pouffer de rire. Clélia lui donna un petit coup avant que je ne puisse ajouter quelconques commentaires. Mon regard parlait pour moi.

Nous nous asseyions à notre tour. Bien que l’idée de prendre sa mère de haut ne me déplaise pas ce n’était pas spécialement poli. Et j’avais un minimum d’éducation. Non mais sérieusement ce n’était pas possible : Clélia n’avait pas pu être élevée par elle ! Elle acceptait d’apprendre à me connaître. Et moi ? On ne m’implorait pas de faire un effort ? Si mon esprit faisait le malin, ca ne transparaissait pas du tout sur mon visage. « Et bien j’étudie le commerce mais j’ai aussi un contrat dans une grande multinational en parallèle. Le PDG est un ami de la famille et … » Je croisais le regard de ma fiancée. Apparemment ce n’était pas quelque chose à dire… « Mon père pense qu’il est important de ne pas se limiter simplement à ce que l’on nous apprends en cours. » Ce n’était pas pour autant que j’avais un traitement de faveur. Je faisais aussi des heures pas possibles… J’avais simplement un peu plus de responsabilité. « Pour une fois j’essais de l’écouter. » Je fis un petit sourire et me heurtais à du marbre. Elle me lançait un regard désapprobateur. Mon cerveau me hurlait de fuir. Je l’écoutais également et filais lui faire sa tasse de thé après avoir demandé à Clélia si elle voulait quelque chose. Je battais en retraite mais je n’avais pas dis mon dernier mot. Je ramenais les tasses. « Tenez. »

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« Hey baby, i think i wanna marry you.»

Je savais que cette rencontre n'était pas gagné d'avance. Je connais Thybalt et je connais ma mère. Je redoutais déjà un peu ce moment et je le pressentais. Les paroles de ma mère me mettaient une boule au ventre. C'est les deux personnes les plus importantes de ma vie et j'ai vraiment envie qu'ils s'entendent un minimum. Seulement ma mère n'allait pas faire d'effort et Thybalt allait finir par ne plus en faire non plus. Ca partait d'un malentendu, à cause de ce premier mariage. Ma mère soit sans doute penser que le deuxième est sous le coup de l'impulsion comme le premier, même si cette fois, on fait les choses biens. Bref, je me sentais pas trop à l'aise et ma mère me remettait en place bien assez vite. Elle n'est pas comme ça, ça peut être la plus adorable comme elle peut être la plus chiante. Je ne voulais pas gâcher nos retrouvailles mais pour le coup, je ne pouvais pas vraiment lui sauter au cou avec ses paroles. J'encaissais tout en répliquant quand même. Elle savait très bien que j'en étais folle amoureuse de mon Thybalt. Elle est dur avec lui aussi pour notre séparation aussi. Elle est très protectrice. On s'asseyait l'un à côté de l'autre. Je saisis la main de Thybalt tout en sentant la boule dans mon ventre me gênait mais d'une force. J'avale ma salive tout en regardant mon futur mari et ma mère tour à tour. Elle était vraiment froide. Je ne la connaissais pas trop comme ça. Ou peut-être que je ne m'en rendais pas compte. Elle avait rencontré Nathan et je ne me rappelle pas des présentations, trou de mémoire oblige. Thybalt commençait par lui dire ce qu'il faisait et à la deuxième phrase, je le regardais tout en lui faisant signe de ne pas dire ça. Ca n'allait qu'empirer l'opinion de ma mère sur lui mais trop tard. Elle commençait déjà à froncer les sourcils. Oh non. « C'est vrai que c'est tellement facile pour vous les riches. » Je serrais un peu plus la main de Thybalt tout en lançant un regard désapprobateur à ma mère. « Maman, il a travaillé dur. » Elle me regarde en disant « Oui enfin, comme il l'a dit, c'est un ami de la famille, il est déjà pas mal au sommet, je me trompe ? » elle s'adressait à Thybalt et moi, j'étais de plus en plus mal. La journée ne pouvait pas plus mal commencer. Je laissais Thybalt continuer à parler, ce qu'il dit ensuite devrait lui faire gagner des points. « Oui, il faut toujours écouter ces parents. N'est-ce pas Clelia ? » Son regard s'adoucit un peu sur moi mais son ton était sarcastique un petit peu. Thybalt s'éclipsait pour faire un thé et pour me servir un verre d'eau. Le seul truc que je peux avaler. D'habitude, je ne peux pas démarrer ma journée sans un café mais là j'avais mal au cœur tout simplement. « Laisse lui sa chance ! » dis-je un peu plus bas le temps que Thybalt soit parti. Je la regardais avec un air un peu triste. « Il est l'homme de ma vie maintenant, tu le sais très bien, soit un peu moins dur. » Elle détourne le regard et ne me répond pas. Géniale, elle se braque. Thybalt revient avec les tasses ensuite, je le regarde tout en disant « Merci mon amour. » Le regard que je lui porte est celui d'une femme complètement amoureuse. J'espère que ma mère va voir l'amour entre nous. Qu'elle ne doute pas de nos motivations. Je bois une gorgée d'eau et décide de détourner la conversation. « Et si on parlait du mariage qui va avoir lieu dans quelques semaines si vous le voulez bien. » j'avais un ton assez enthousiaste. Bah oui, j'allais me marier et c'est pas tous les jours. Certes c'est mon deuxième mariage mais avec le même homme, du coup ça compte pour un n'est-ce pas. Ma mère lève les yeux au ciel et répond « Allons-y, c'est pour ça qu'on est réuni non. » Elle baragouine ensuite quelques mots en polonais qui reflètent son peu d'enthousiasme à cette idée, je fronce à nouveau les sourcils. Elle nous regarde tour à tour en disant « Vous me permettez d'être franche ? Je pense que ce mariage est une grossière erreur, comme le premier. Nous, les polonais, on est très croyant. Vous allez prendre un engagement auprès de dieu et de la communauté. On ne vas pas faire déplacer toute notre famille si vous n'êtes pas sûr de vous et au vu du premier, je doute sincèrement que vous preniez la bonne décision. Le mariage ce n'est pas qu'un bout de papier, c'est plus que ça, prenez le temps d'y réfléchir cette fois. » Elle avait l'air plus amical que froide mais il n'empêche que je la comprenais d'un côté mais que ça me mettait hors de moi d'un autre. Je bois une autre gorgée de mon verre mais je me sens complètement assommée. La boule que j'ai dans mon estomac grossit de plus en plus. Je prends la main de Thybalt à nouveau. « Maman, c'est complètement réfléchie. Je suis folle amoureuse de Thybalt. J'ai envie d'être sa femme à nouveau. Le premier mariage était beaucoup trop précipité mais celui-là est dans la suite des choses.. » réussis-je à dire tout en la regardant dans les yeux. Elle baisse la tête tout en passant la main dans ses cheveux. « Qui ne vous dit pas qu'il va se finir comme le premier ? Je ne tiens pas à te ramasser à mla petite cuillère une deuxième fois ! »

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Clélia & Sa mère & la mienne (PNJ)

Ce n’était pas simple de rentrer dans les bonnes grâces de la mère de Clélia. Je partais avec un sérieux désavantage. Elle semblait me détester, et n’avait pas vraiment envie d’apprendre à me connaître. Le mariage approchait … Je devais faire un effort. Je tentais de sourire, d’être serviable, d’avoir l’air amoureux de Clélia. C’est bien la seule chose qui m’était simple étant donné que je l’aimais plus que tout. Même si notre premier mariage et notre rupture allaient dans le sens inverse. Ce n’était que des hauts et des bas. Je répondais à sa question, tentant de mettre en valeur mon nouveau travail. Sauf que je venais de faire une merveilleuse bourde. Apparemment il ne fallait pas dire que j’avais eu un petit coup de pouce. Je serrais la mâchoire. Pour nous les riches ? Non mais elle se prenait pour qui ? Clélia prenait ma défense mais c’était trop tard. Intérieurement je bouillais. Je n’avais pas l’habitude de me refreiner, mais je ne pouvais définitivement pas envoyer balader la mère de ma fiancée. Je ne répondais pas à son pic et me contentais de parler de mon père et de ses conseils. Apparemment j’avais bien réagi, bien que le ton sarcastique employé en dise long sur sa façon de penser. Sentant que je n’allais pas tarder à perdre totalement le contrôle, je me levais pour préparer le thé. Je battais en retraite mais si je ne voulais pas envenimer la situation je n’avais pas le choix. Je passais ma main dans mes cheveux et soupirais lourdement une fois dans la cuisine. Je me heurtais à du marbre et avec ce genre de femme je ne pouvais rentrer dans ses bonnes grâces. Je prenais mon courage à deux mains et ramenez les boissons. J’avais à peine le droit à un hochement de tête de la part de sa mère et à beaucoup plus d’enthousiasme de la part de ma future épouse. L’amour se sentait entre nous. Personne ne pouvait en douter. Je l’aimais vraiment. Elle proposa de parler mariage. Je doutais que ce soit une bonne idée. « Effectivement. » lançais-je avec un air assez éloigné. Sa mère se mit à baragouiner en une langue inconnue. Je serrais les dents. Calme Thybalt. Calme. Elle nous demandait si elle pouvait être franche. Je ne pouvais pas me retenir. « Ce n’est pas ce que vous faites depuis tout à l’heure ? » Je soutenais son regard. Non là j’en avais assez. Je tentais de ne pas me braquer mais c’était de plus en plus difficile. Une grossière erreur ? Je n’avais jamais laissé quelqu’un me parler ainsi de mon mariage, pas même mon père qui avait pourtant les mêmes réticences que sa mère. Je plissais les yeux. Mon attention fut détournée par la main de Clélia qui serrait la mienne. Elle prenait la parole. Je tentais de me contrôler. Je ne voulais pas réagir avec violence. « Non mais attendez… Vous vous prenez pour qui ? Vous arrivez comme ca chez moi à l’improviste pour remettre totalement en doute notre mariage à venir et vous la jouer classe inférieur… » C’était sortit tout seul. La voir sous-entendre que je cherchais à blesser Clélia : c’était la goutte qui faisait déborder un vase bien plein. « Je peux comprendre vos inquiétudes, je les respecte mais je ne vous permet pas de me prendre de haut de cette manière. Je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas. Vous vous permettez de porter un jugement sur ma vie mais vous ne savez rien de moi. Si vous croyez que l’argent fait tout et que ce mariage n’est qu’un caprice vous vous mettez le doigt dans l’œil. J’aime Clélia. Sincèrement. Ok notre histoire est atypique et pas vraiment conventionnelle mais c’est comme ça. Le premier mariage était une erreur que pourtant je suis content d’avoir fait parce que ca m’a ouvert les yeux sur ce que je ressentais pour elle. Alors ok ca n’a pas été facile entre les disputes, les divergences d’opinions, la… Oula je venais de manquer de faire une grosse connerie. Je continuais comme si de rien n’était. « mais c’est comme ca et nous savons parfaitement ce que nous faisons ! L’un comme l’autre. » Je tentais d’obtenir l’accord de Clélia concernant mes paroles. Je tentais de m’adoucir un peu. C’était sortit, je me sentais mieux. « Je n’ai absolument pas l’intention de faire souffrir Clélia. Je vais tout faire pour la rendre heureuse. » Il y eut un long silence.

La porte d’entrée claqua. « Bonjour les jeunes ! » Il ne manquait plus que ca ! Ma mère. Je regardais Clélia. Aucun doute que cette fois ca allait faire des étincelles. Sa voix s’élevait de l’entrée : « Clélia je t’ai trouvé des petites choses formidables ! Tu vas adorer ! Bon d’accord ce sont des petites folies, et mon cher fils va forcément râler, mais on ne se marie pas plus de deux fois n’est-ce pas ? » le rire sonore de ma mère se dirigea vers nous. Je me levais immédiatement et la saluais. Elle ne prêtait aucune attention à la mère de Clélia, bien trop occupé avec ses paquets… Pour ne pas se la jouer classe supérieur là c’était loupé. L’ensemble des magasins inscrits sur les sacs avec un portier à l’entrée. « Maman. Je te présente la mère de Clélia… Nous étions en train de parler du mariage. » Je la suppliais du regard de ne pas faire comme son fils et de ne pas faire des conneries.

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« Hey baby, i think i wanna marry you.»

Ma mère y allait fort dès le début. J'avais envie de m'enfoncer dans le canapé ou de partir élever des pingouins en Antarctique, avec les esquimaux. Je sentais que la situation allait vite dégénéré. Je prenais difficilement la défense de ma mère. Il ne trouvait pas grace à ses yeux à cause de notre histoire qui n'était pas dans la norme. Je ne voulais pas que ça finisse mal, pourtant c'était mal parti. Ma mère ne se permettait pas pour juger Thybalt et notre mariage. Elle me l'avait déjà dit au téléphone lorsque je lui avais annoncé que j'allais me marier pour la deuxième fois avec le même homme. Elle avait peur que ce soit un acte irréfléchi comme la dernière fois. Cette fois, on avait prit le temps, on avait décidé de suivre un peu les règles. Quand elle demandait si elle pouvait être franche, Thybalt lui lança une pique qu'elle ne relève même pas, heureusement. Je soupirais intérieurement. Le reste, c'était dur à entendre, je voyais le visage de mon fiancé qui se décomposait au fur et à mesure des paroles. Je sais que ce n'est pas de la méchanceté pur et dur qu'elle nous montre. Ce n'est pas du tout son genre. Elle était simplement dur avec Thybalt. Il fallait qu'il soit parfait, dans ses critères à elle, mais c'était raté.Thybalt allait craquer et moi j'avais tout simplement peur de me retrouver entre les deux...

Trop tard Thybalt venait de parler, ma mère était complètement choquée par ses paroles. Moi aussi d'ailleurs, il était à deux doigt de révéler ma « grossesse » alors que j'en avais parlé à personne, c'était trop douloureux pour moi pour évoquer le sujet. Je ne voulais inquiéter personne. Moi j'avais tout simplement envie d'en prendre un pour taper sur l'autre aussi. En même temps, ma mère l'avait un peu cherché. Il n'avait pas tort dans ce qu'il disait mais ça ne plaisait pas du tout à ma mère. Je vois qu'elle est crispé, qu'elle se retient. Je retient ma respiration, je suis tendue plus que jamais. Je ne peux pas les laisser s’entre-tuer à la première rencontre. J'allais répliquer mais ma mère fut plus rapide pour le coup. Elle commençait à rougir, non pas par gêne mais de colère. « Oh, je vous prends de haut maintenant ? C'est la meilleure celle-là. Non, je connais simplement les gars dans votre genre, j'en sais assez sur vous pour avoir peur pour ma fille. Vous l'avez blessé et vous vous attendiez à ce que je vous accueille les bras ouverts ? Je ne marche pas comme ça, je suis désolée. Maintenant, c'est à votre tour de baisser le ton. Je ne vous donne nullement le droit de me parler comme ça, jeune homme. » Ma mère le fusillait du regard. Mon cœur battait à tout rompre, dans le mauvais sens du terme. J'avais chaud, très chaud, j'étais à deux doigt de pleurer ou de faire semblant de m'évanouir afin qu'ils arrêtent tous les deux de se chamailler. J'avais les larmes aux yeux, je n'aimais pas les voir comme ça. Je prenais sur moi le plus longtemps que j'ai pu, j'avais bien envie de prendre mes clés de voiture et d'aller faire un tour. Non, je décidais d'aller dans la cuisine, quelques secondes, histoire de me reprendre et de leur faire face à tous les deux. Je reviens, déterminée en disant « On se calme maintenant. Si vous n'arrivez pas à vous parler correctement, je m'en vais. Vous êtes les deux personnes les plus importantes de ma vie et je suis à deux doigts de faire un infarctus si vous continuez à vous parler comme ça. C'est aussi simple et je vous enferme tous les deux ici. Ne me poussez pas à le faire. » j'avais dis ça d'une voix trop calme mais c'était vraiment sérieux. « Et si on reparlait vraiment du mariage ? La plage, j'adorerais me marier à la plage, comme la plage de Bali. » dis-je avec un petit sourire tout en me rasseyant à côté de Thybalt et en lui prenant la main. Je regardais ma mère avec un petit sourire. Elle croisait les bras. Je regardais Thybalt et ma mère tour à tour.

La mère de Thybalt venait de faire son entrée. Je me levais et lui fis un petit sourire, ma mère souriait moins. Elle était déjà d'humeur sarcastique. Ma mère grinçait déjà des dents lorsque Madame Addison l'ignora complètement. Je la saluais aussi et Thybalt présentait ma mère à la sienne. Ma mère lui serra la main par politesse. « Enchantée. » dit-elle simplement. Elle regardait les paquets et elle levait les yeux au ciel. « Si ce n'est pas la classe supérieur. » dit-elle sarcastique. Je sentais le début des problèmes. Ma mère me parlait en polonais en me disant qu'elle espérait que le fils ne soit pas comme la mère, je fronçais les sourcils. Elle lançait déjà les hostilités. « Asseyez-vous madame Addison. » dis-je doucement tout en la débarrassant des paquets. « Et on pourrait voir ce que ta futur belle-mère t'a acheté Clelia ? » demande ma mère tout en me regardant et en croisant à nouveau les bras. Ca démarrait mal. Je jetais un regard à Thybalt et à sa mère tout en disant « Euh.. Oui, si tout le monde est d'accord. »

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Nice to meet you

Clélia & Sa mère & la mienne (PNJ)

Je venais de perdre mon sang froid. Je ne supportais pas que quelqu’un s’adresse à moi de cette manière. Je tentais d’être poli et courtois depuis le début de cette entrevue mais sa mère ne semblait décider qu’à voir mes défauts, qu’à se fier à ses aprioris. Je tentais de ne pas aller trop loin et de rester un minimum correct. Pourquoi se permettait-elle de me juger sur mes ressources financières ? Elle ne connaissait pas ma vie… Clélia ne connaissait même pas certains détails. L’argent fait beaucoup dans la vie mais pas le bonheur total. Je pouvais toutefois comprendre sa peur étant donné les derniers évènements mais tout de même. Je ne pouvais admettre un pareil comportement. Sa mère semblait choquée par autant d’aplomb de ma part. Je m’en voulais terriblement pour ma fiancée. Clélia n’avait pas à subir ca. Mais j’étais comme ça et elle le savait parfaitement. Je gardais mon air stoïque et n’hésitais pas à soutenir le regard de sa mère. « Vous ne savez rien sur moi. » répétais-je en serrant les dents. Je ne me laissais pas démonter. « J’ai fais des erreurs et je les assume pleinement. » J’étais capable de prendre sur moi et de prendre toute la responsabilité de notre dispute, de notre séparation mais je ne baisserai pas d’un ton. Clélia intervint avant que les choses ne dégénèrent définitivement. Mon cœur se serrait. Je lui tendais la main et une fois saisit, je la caressais doucement, avant de lui murmurer que j’étais désolé… je ne l’étais pas vraiment pour sa mère mais j’allais faire un réel effort. Hors de question que je fasse capoter les choses. J’étais amoureux d’elle et je pouvais faire tous les efforts. Ma fiancée nous relançait sur le mariage, d’un point de vue plus technique. Elle proposait la plage. J’étais surpris. Je ne m’attendais pas à ca d’elle. « C’est un très bonne idée… C’est original… Et si ca te fait plaisir, c’est parfait. » Je prenais un malin plaisir à déposer mes lèvres sur les siennes. Elle pouvait vouloir un mariage au milieu des nudistes en Antarctique, je m’en fichais. Je ne voulais que l’épouser et qu’elle soit heureuse.

Ma mère fit son entrée. Je me mordais les lèvres. C’était la fin du monde, nous allions assister à la fin du monde, d’une époque. Elle commençait bien en ignorant totalement la mère de Clélia. Je tentais de réparer l’impair en les présentant. Non maman ce n’est pas la femme de ménage ou le traiteur… C’est la mère de la future mariée qui me déteste alors sois sympa. J’aimerai pouvoir lui envoyer cette idée par la pensée. Ma mère n’était pas sur la même longueur d’onde que moi. Elle n’appréciait d’ailleurs pas la remarque de madame Pawelski. « Pourquoi me priverais-je de gâter ma merveilleuse future belle fille ? Ce serait idiot. » Oui Clélia avait fait très bonne impression à ma mère. Tellement que si par malheur notre mariage ne fonctionnait pas, ce serait automatiquement ma faute. J’aurai aimé faire le même effet avec sa famille. Elle prenait place à nos côtés. « Maman franchement… Clélia commence déjà à investir mon côté de l’armoire. Je pense que... Tu en refais trop. Vraiment. » lui fis-je remarquer à voix basse. Elle me fit signe que j’exagérais. Ouvrir les paquets ? Je craignais le pire. Ma mère semblait fière de pouvoir offrir ses choses… « D’accord. Sauf celui-là. » elle montrait un petit paquet rose… Dans un style très boutique de lingerie. Non elle n’avait pas osé ?! Ma mère était folle alliée. Et voilà qu’elle me menaçait « Je t’interdis de faire ton curieux. Certaines choses doivent être réservées au mariage. » Ma mère n’était pas très tradition. « Ca et la robe sont les deux seuls choses que l’on te cache ou que l’on t’interdis avec les traditions et tout le blabla alors ne te plains pas. » Je hochais la tête. Tant qu’elle ne gênait pas Clélia devant sa propre mère, j’étais capable de tout accepter. Elle priait Clélia d’ouvrir ses cadeaux : il y avait un petit haut en soie très chic, une veste assortie, des boucles d’oreilles et des escarpins, sans compter une carte pour des massages pour détendre la future mariée… j’avais perdu le contrôle de la situation… ok nous étions très classe supérieure.

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